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Femen et mariage pour tous

21 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Femen manifeste seins nus à Paris
Crédit photo : AFP
 
TVA Nouvelles

Le mouvement féministe ukrainien Femen, reconnu pour avoir organisé plusieurs actions «seins nus» autour du monde, a fait irruption dans les rues de Paris ce lundi.

À l'occasion de l'ouverture de son premier «centre international» dans la capitale française, des dizaines de femmes ont défilé «topless» dans le XVIIIe arrondissement.

L'engagement militant de ces activistes s'appuie sur des revendications féministes traditionnelles: prostitution, corruption, machisme, etc.

Inna Shevchenko, farouche militante féministe, a expliqué au quotidien français Libération ses motivations à manifester seins nus. «Nous avons voulu montrer que les féministes ne sont pas que des vieilles femmes cachées derrière leurs bouquins», a-t-elle révélé au journaliste Quentin Girard.

«En Ukraine, il n'y a pas de culture de l'activisme, nous avons dû tout inventer. Je serais incapable de me déshabiller à la plage, mais, quand je manifeste, j'ai l'impression de porter ce que j'appelle mon "uniforme spécial"», a-t-elle ajouté.

Récemment installée à Paris, l'ONG ukrainienne espère accueillir des recrues de partout dans le monde pour enseigner sa philosophie et ses pratiques. Les «Femenistes» parlent d'ailleurs de la nécessité de suivre un entraînement physique, moral et intellectuel avant de manifester seins nus.

Retour en images sur la manifestation de Femen à Paris.

Femen manifeste seins nus à Paris
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Viol, double peine

21 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

www.lemonde.fr/culture/.../viol-double-peine_1791707_3246.html

il y a 11 heures – France Télévisions diffuse le documentaire "Viol, double peine" et met en ... (Eve) par leur proche et/ou des "victimes de seconde zone" (Lisa),

 

 

Viol, double peine
LE MONDE TELEVISION | 20.11.2012 à 19h05 • Mis à jour le 20.11.2012 à 19h06 Par Christine Rousseau
 
France Télévisions diffuse le documentaire "Viol, double peine" et met en ligne une plate-forme de témoignages et le web-documentaire "Viol, les voix du silence" sur son site.

En France, 75 000 femmes sont violées tous les ans, soit une toutes les huit minutes. Aussi accablants que soient ces chiffres officiels, ils ne recouvrent qu'une partie de la réalité puisqu'ils ne prennent en compte ni les victimes mineures, ni celles qui se réfugient dans le silence. Seule une femme sur dix porte plainte.

Parmi elles, Eve, Marion, Audrey, Clotilde et Lisa ont choisi de témoigner devant la caméra de Karine Dusfour pour briser ce terrible mur de silence qui protège les agresseurs et surtout libérer la parole d'autres victimes d'un crime qui demeure encore tabou. Pour s'en convaincre, il n'est qu'à écouter le long et douloureux parcours entrepris par ces cinq femmes pour être reconnues comme victimes. Notamment, lorsque - tabou parmi les tabous - le viol s'est commis dans le cadre conjugal.

SUSPICION

Au traumatisme initial, s'ajoute le sentiment d'être considérée "comme une pestiférée" (Eve) par leur proche et/ou des "victimes de seconde zone" (Lisa), reçue souvent avec suspicion par des policiers peu ou mal formés.

Gageons que Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, invitée de Carole Gaessler dans "Le Monde en face", émission où est diffusé Viol, double peine, saura entendre ces voix auxquelles font écho celles du film d'Andrea Rawlins, Viol : elles se manifestent, programmé le 25 novembre sur France 2 (22 h25) lors de la Journée internationale des violences faites aux femmes. Pour l'occasion, France Télévisions a choisi de se mobiliser fortement sur son site avec la mise en ligne d'un webdocumentaire (Viol, les voix du silence) et d'un appel à témoignages.

Karine Dusfour - (France, 2012, 52 minutes). Diffusion lundi 19 novembre à 20h35 sur France 5.

Christine Rousseau

Viol, les voix du silence : la plate-forme Internet de témoignages

 

Il est ouvert depuis le lundi 19 novembre, et déjà plus de quarante témoignages ont été reçus. Le site conçu pour présenter le documentaire interactif accompagnant la diffusion mardi 20 novembre sur France 5 de "Viol, double peine" se veut bien plus qu'un outil interactif. Il est prévu et réalisé en partenariat avec le ministère des droits des femmes pour devenir "une véritable plateforme de service public qui permettra la libération de la parole grâce aux outils du web" comme le décrit Boris Razon, directeur du transmédia et nouvelles écritures à France télévisions.

 


Les cinq chapitres du documentaire interactif rassemblent les douloureuses étapes qu'ont enduré les victimes, du moins celles qui ont bien voulu témoigner à visage découvert, depuis l'agression jusqu'à la difficile reconstruction. Cette histoire collective, cette prise de parole est décisive, et la plateforme installée par France Télévisions est à ce titre unique et exemplaire.

 


Prendre la parole devient vital, et tous les outils du web sont disponibles pour laisser libre court au témoignage : texte, photo, son, vidéo, dessin, etc. sont accessibles dès la page d'accueil de la plateforme, de façon contrôlée pour éviter les dérapages : "Cet espace n'est ni un tribunal ni un café du commerce. C'est un lieu qui privilégie la pertinence et non le commentaire à chaud. En effet, l'expression est libre, mais elle est protégée. La mise en ligne n'est donc pas instantanée. Une équipe éditoriale est chargée de la lecture et de l'édition des témoignages sur le site afin de s'assurer du respect des règles essentielles de la protection de l'identité et de l'individu" peut-on lire dans les mises en garde du site. Et à terme, "il n'est pas inconcevable que nous transmettions les clés aux associations déjà habilitées à recueillir ces témoignages" selon Boris Razon.

 

Olivier Dumons


http://viol-les-voix-du-silence.francetv.fr

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Corps en tous genres

21 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Anne Fausto-Sterling,

La Découverte, 400 p., 32 euros. ISBN : 9782707169105

« Il y a deux sexes ! » Ce serait un fait de nature. La biologiste Anne Fausto-Sterling défait cette fausse évidence du sens commun, fût-il scientifique. N’y en aurait-il pas cinq, voire plus ? Ironique, cette proposition n’en est pas moins sérieuse : pour les intersexes, ni tout à fait garçons ni vraiment filles, il en va de leur vie. Va-t-on les faire entrer de force, par la chirurgie, dans l’une ou l’autre catégorie ? Et, quand ils envoient des messages différents, qui, des chromosomes, des hormones, du cerveau ou du squelette, aura le dernier mot ?
L’enjeu, ce sont les exceptions mais aussi la règle, à savoir tout le monde ! Le partage entre deux sexes est toujours une opération sociale. C’est bien la société qui tranche dans les variations attestées pour donner un sexe au corps. Et quand le médecin ou le savant parlent sexe, ou sexualité, c’est encore la société que l’on entend. Loin d’être neutre, la science est donc toujours située : telle est l’une des leçons de cet ouvrage, devenu un classique depuis sa publication aux États-Unis en 2000.
La critique du biologisme par une scientifique du sérail trouble nos oppositions convenues - entre genre (social) et sexe (biologique), entre culture et nature. Ainsi ne pourra-t-on plus dire qu’il faut choisir entre féminisme et science.

http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index.php?ean13=9782707169105

www.editionsladecouverte.fr/.../index-Corps_en_tous_genres-...

Il y a deux sexes ! » Ce serait un fait de nature. La biologiste Anne Fausto-Sterling défait cette fausse évidence du sens commun, fût-il scientifique. N'y en .

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Les pouvoirs extraordinaires du corps humain

20 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Les pouvoirs extraordinaires du corps humain


Magazine de la santé
(1h40)
Pour comprendre comment des hommes et des femmes repoussent leurs limites physiques, Michel Cymes et Adriana Karembeu détaillent leurs exploits. Pendant quatre jours, les animateurs vivent, eux aussi, une expérience exceptionnelle. Ils testent leurs limites au cours d'une ascension vers le sommet du Mont Blanc. Parmi les performances analysées figure aussi Théo Sanson, qui marche sur une ligne tendue à 200 mètres au-dessus du vide. Iceman, quant à lui, figure dans le Livre des records comme étant l'homme le plus résistant au froid. Il parcourt jusqu'à 22 kms, pieds nus dans la neige, par moins 25°C. Guillaume Néry et Julien Gautier tiennent respectivement 8 et 5 minutes sous l'eau sans respirer. Bertrand Kron casse, à mains nues, des planches, des briques et des noix de coco depuis quarante ans.
television.telerama.fr/.../les-pouvoirs-extraordinaires-du-corps-humai...
il y a 2 jours – Synopsis de Les pouvoirs extraordinaires du corps humain ... Un couple pédago-glam (« la belle et le toubib », résume France 2) qui se lance ...
tv.sfr.fr/.../France-2/Les-pouvoirs-extraordinaires-du-corps-humain-1...
Avec la Télévision HD découvrez plus de 75 chaînes incluses et 150 en option. Profitez aussi du Media Center, de la fonction magnétoscope numérique et d'un
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Body as Evidence

20 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Body as Evidence: Mediating Race, Globalizing Gender (NY: SUNY Press, 2012).

 

Analyzes how race and gender intersect in the rhetoric and imagery of popular culture in the early twenty-first century.

In Body as Evidence, Janell Hobson challenges postmodernist dismissals of identity politics and the delusional belief that the Millennial era reflects a “postracial” and “postfeminist” world. Hobson points to diverse examples in cultural narratives, which suggest that new media rely on old ideologies in the shaping of the body politic.

Body as Evidence creates a theoretical mash-up of prose and poetry to illuminate the ways that bodies still matter as sites of political, cultural, and digital resistance. It does so by examining various representations, from popular shows like American Idol to public figures like the Obamas to high-profile cases like the Duke lacrosse rape scandal to current trends in digital culture. Hobson’s study also discusses the women who have fueled and retooled twenty-first-century media to make sense of antiracist and feminist resistance. Her discussions include the electronica of Janelle Monáe, M.I.A., and Björk; the feminist film odysseys of Wanuri Kahiu and Neloufer Pazira; and the embodied resistance found simply in raising one’s voice in song, creating a blog, wearing a veil, stripping naked, or planting a tree. Spinning knowledge out of this information overload, Hobson offers a global black feminist meditation on how our bodies mobilize, destabilize, and decolonize the meanings of race and gender in an increasingly digitized and globalized world.

www.sunypress.edu/p-5578-body-as-evidence.aspx - Traduire cette page

In Body as Evidence, Janell Hobson challenges postmodernist dismissals of identity politics and the delusional belief that the Millennial era reflects a “postracial

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L'autosanté : croire pour guérir ?

20 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

L'autosanté
Ouvrage
Titre: L'autosanté : Vers une médecine réflexive
Auteur(s): Bernard Andrieu
Année: 2012
Collection: Armand Colin/Recherches
Pages: 256
Editeur: Armand Colin
Lieu de publication: Paris
ISBN: 9782200280512
Résumé: Le patient « bon et docile » n’existe plus. Désormais, le sujet contemporain entend devenir agent de sa santé et refuse de se laisser enfermer dans une simple relation soignant-soigné, vécue sur un mode passif, jusque dans la demande de disposer de son corps. Il s’informe, revendique des droits et entend le faire savoir. En France, la loi dite Kouchner lui garantit, depuis 2002, le droit à accéder à son dossier médical et le devoir des médecins de rechercher le consentement aux soins, tandis que les associations de malades alimentent les forums des sites d’information sur leur vécu. Un seul diagnostic ne suffit plus à notre patient qui recherche des solutions parfois moins conventionnelles, jugées plus en harmonie avec sa propre sensibilité et son vécu. Loin du simple bricolage thérapeutique ou de la pratique occasionnelle des médecines douces, cette tendance – que l’on peut qualifier d’autosanté – devient alors une expérience d’éducation corporelle et de transformation de soi. Le patient fait appel à des pratiques nouvelles, sources d’habitudes, de croyances psychologiques et d’un nouveau style de vie. Il n’est plus patient, mais agent de sa propre médecine, une médecine à la première personne.
Projet: Axe 5 : LOAMAC

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*  *  *

Publié le lundi 19 novembre 2012 par Loïc Le Pape

Résumé

En matière de guérison, la croyance est souvent vue comme une posture de confiance dans l’issue de la maladie, qui viendrait appuyer l’effort thérapeutique, voire parfois le supplanter comme tend à le montrer la notion complexe d’effet relationnel (appelée aussi effet placebo). Cette notion, qui apparaît comme un lieu fourre-tout de ce qui échappe au contrôle médical, insiste sur l’importance de la confiance placée dans la thérapeutique mobilisée, comme dans le thérapeute qui la pratique. La croyance en l’efficacité du soin semble prépondérante dans l’efficacité effective de celui-ci. Le croire ne se limite ni à l’effet placebo ni à une approche religieuse de la guérison, mais est à l’œuvre dans toute démarche thérapeutique, du côté du malade comme du côté de son thérapeute. Ce qui nous invite à mesurer l’impact des enjeux de sens et de l’élaboration symbolique dans la quête de guérison. 

Annonce

Présentation

Il est beaucoup question de croyance dans la quête de guérison, d’abord parce que, pour qu’un processus thérapeutique soit engagé, il faut d’abord que le patient et son médecin y croient a minima. Trop souvent, le savoir est opposé au croire, comme deux approches de l’acte thérapeutique qui consacreraient l’autorité scientifique du médecin face au discours subjectif de son patient, plus ou moins en proie à des imaginaires de la maladie, qui le relègue du côté méprisé de la croyance. Mais en quoi s’agit-il ici de croire ? En matière de guérison, la croyance est souvent vue comme une posture de confiance dans l’issue de la maladie, qui viendrait appuyer l’effort thérapeutique, voire parfois le supplanter comme tend à le montrer la notion complexe d’effet relationnel (appelée aussi effet placebo). Cette notion, qui apparaît comme un lieu fourre-tout de ce qui échappe au contrôle médical, insiste sur l’importance de la confiance placée dans la thérapeutique mobilisée, comme dans le thérapeute qui la pratique. La croyance en l’efficacité du soin semble prépondérante dans l’efficacité effective de celui-ci. Le croire ne se limite ni à l’effet placebo ni à une approche religieuse de la guérison, mais est à l’œuvre dans toute démarche thérapeutique, du côté du malade comme du côté de son thérapeute. Ce qui nous invite à mesurer l’impact des enjeux de sens et de l’élaboration symbolique dans la quête de guérison. 

La journée se déroulera en trois temps :

  • 1er temps : Jean-Marie Gueullette, professeur à l’Université Catholique de Lyon et directeur du Centre Interdisciplinaire d’Ethique, reviendra sur les enjeux éthiques du rapport entre savoir et croire dans la recherche de guérison.
  • 2ème temps : Dialogue entre Patrick Lemoine, psychiatre, docteur en neurosciences, ancien praticien hospitalier et directeur d’enseignement clinique à l’université Claude Bernard Lyon 1, qui s’est intéressé à la question de l’effet placebo, et Sylvie Fainzang, directeur de recherche à l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), spécialisée en anthropologie de la maladie et titulaire d’une habilitation à diriger des recherches de l'EHESS.
  • 3ème temps : Ce troisième temps poursuivra la réflexion à partir de l’expérience pratique. Interviendront notamment dans ce cadre Yves Matillon, professeur des universités – médecin des hôpitaux, conseiller technique pour l'enseignement, la recherche et les professions de santé au ministère de la Santé, directeur du laboratoire interuniversitaire "Santé, individu, société" de l’Université de Lyon, Claire Marin, philosophe, auteure de Hors de moi publié aux éditions Allia et Violences de la maladie, violence de la vie publié chez Armand Colin, Dr Jacques Marblé, psychanalyste, consultant dans une unité de traitement de la douleur à Lyon, membre de l'association de psychanalyse "Jacques Lacan" et de la Société Française d'Etude et Traitement de la Douleur, Laurent Denizeau, maître de conférences à l’Université Catholique de Lyon, anthropologue au Centre Interdisciplinaire d’Ethique.
Programme

Journée d’étude : Faut-il y croire pour guérir ?, Jeudi 29 novembre 2012, 15 h – 19 h, En collaboration avec la Villa Gillet, dans le cadre de « Mode d’emploi : un festival des idées », Université catholique de Lyon

Le croire ne se limite ni à l’effet placebo ni à une approche religieuse de la guérison, mais est à l’œuvre dans toute démarche thérapeutique, du côté du malade comme du côté de son thérapeute. Ce qui nous invite à mesurer l’impact des enjeux de sens et de l’élaboration symbolique dans la quête de guérison. 

  • 15h : Jean-Marie Gueullette, professeur à l’Université Catholique de Lyon et directeur du Centre Interdisciplinaire d’Ethique, reviendra sur les enjeux éthiques du rapport entre savoir et croire dans la recherche de guérison.
  • 15h45 : Réponses de Patrick Lemoine, psychiatre, docteur en neurosciences, ancien praticien hospitalier et directeur d’enseignement clinique à l’université Claude Bernard Lyon 1, qui s’est intéressé à la question de l’effet placebo, et Sylvie Fainzang, directeur de recherche à l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), spécialisée en anthropologie de la maladie et titulaire d’une habilitation à diriger des recherches de l'EHESS.
  • 16h45 : Discussion.

17h-17h30 : Pause.

  • 17h30 : Table-ronde avec Yves Matillon, professeur des universités – médecin des hôpitaux, conseiller technique pour l'enseignement, la recherche et les professions de santé au ministère de la Santé, directeur du laboratoire interuniversitaire "Santé, individu, société" de l’Université de Lyon, Claire Marin, philosophe, Jacques Marblé psychiatre et psychanalyste, membre de la Société Française d’Etude et de Traitement de la Douleur.
  • 18h : Débats avec le public. 
  • Animation : Laurent Denizeau, maître de conférences à l’Université Catholique de Lyon, anthropologue au Centre Interdisciplinaire d’Ethique.
Bibliographie :
  • Rémy BOUSSAGEON, Pascal MAIRE (dir.), Placebo, le remède des remèdes, Lyon, Jacques André éditeur, 2008.
  • Nicole DURISCH GAUTHIER, Ilario ROSSI, Jörg STOLZ (dir.), Quêtes de santé. Entre soins médicaux et guérisons spirituelles, Genève, Labor et Fides, 2007.
  • Sylvie FAINZANG, Médicaments et société, Le patient, le médecin et l’ordonnance, Paris, PUF, 2001.
  • Jean-Marie GUEULLETTE, « Savoir et croyances à l’œuvre dans la guérison », Revue de l’Université catholique de Lyon, 18, décembre 2010, 24-27.
  • Patrick LEMOINE, Le mystère du placebo, Paris, Odile Jacob, 1996.
  • Claire MARIN, Hors de moi, Paris, Allia, 2008.

Catégories

Lieux

  • Site de Bellecour, Salle Jean-Paul II - 25 rue du Plat
    Lyon, France (69002)

Dates

  • jeudi 29 novembre 2012

Mots-clés

  • quête de guérison, soin, guérir, éthique,acte thérapeuthique...

Contacts

  • Claire col
    courriel : cie [at] univ-catholyon [dot] fr

Source de l'information

  • Émeline Ronget
    courriel : comphilo [at] univ-catholyon [dot] fr

Pour citer cette annonce

« Faut-il y croire pour guérir ? », Journée d'étude , Calenda, Publié le lundi 19 novembre 2012, http://calenda.org/225195

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Patrick Edlinger, à mains nues

19 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Patrick Edlinger, les démons d'un artiste de l'escalade
 

Patrick Edlinger dans "La vie au bout des doigts". | Photo Capture d'écran La vie au bout des doigts

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Figures du geste

19 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

séminaire du cehta/ehess coordonné par anne creissels
docteure de l'ehess en histoire et théorie des arts, chercheure associée au cehta
maître de conférences en arts plastiques à l'université de lille 3, membre du ceac
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Savita Halappanavar

18 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en Irlande pour protester contre la mort d'une Indienne dans un hôpital irlandais où des médecins ont refusé d'interrompre sa grossesse alors qu'elle faisait une fausse couche, au motif que l'avortement est interdit par la loi.

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en Irlande pour protester contre la mort d'une Indienne dans un hôpital irlandais où des médecins ont refusé d'interrompre sa grossesse alors qu'elle faisait une fausse couche, au motif que l'avortement est interdit par la loi.

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en Irlande pour protester contre la mort d'une Indienne dans un hôpital irlandais où des médecins ont refusé d'interrompre sa grossesse alors qu'elle faisait une fausse couche, au motif que l'avortement est interdit par la loi.

 

Plus de 10.000 personnes ont défilé à Dublin, selon la police. Les manifestants ont observé une minute de silence avant des interventions de militants qui ont réclamé un changement de la loi.

Plusieurs centaines de personnes portant des bougies se sont recueillies à Galway, sur la côte ouest de l'Irlande, où vivait la jeune femme, Savita Halappanavar, décédée dans un hôpital de cette ville

 

Décès d'une femme enceinte en Irlande: des milliers de manifestants

Le Point ‎- il y a 8 heures

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en Irlande pour ... une fausse couche, au motif que l'avortement est interdit par la loi

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Le corps accidenté.

18 Novembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

thèse de Peggy Tessier
intitulée "Le corps accidenté. Bouleversements identitaires et reconstruction de soi", effectuée sous la direction de Michela Marzano à l'Université Paris Descartes.

La soutenance se tiendra le samedi 24 novembre 2012 à 10h dans l'amphithéâtre DURKHEIM de la Sorbonne (1, Rue Victor Cousin, Galerie Claude Bernard- Escalier I- 1er étage, 75005 Paris).

Le jury est composé de :

Michela MARZANO, Professeure, Université Paris Descartes (Directrice)
Marie GAILLE, Chargée de Recherches (HDR), CERSES (CNRS/Paris Descartes)
Sandra LAUGIER, Professeure, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (pré-rapporteur)
Olivier MARTIN, Professeur, Université Paris Descartes
Jean-Philippe PIERRON, Maître de Conférences (HDR), Université Lyon 3 (pré-rapporteur)
Jacques de SAINT VICTOR, Professeur, Université Paris 8

*********


Résumé
L'objet de cette thèse est de penser le corps à partir de l'expérience particulière qu'est l'accident. L'enjeu s'avère triple : i) élaborer un questionnement philosophique sur le corps en situation de handicap accidentel ; ii) replacer ce questionnement dans le champ des théories du handicap et des notions d'« identité » et de « reconstruction de soi » ; iii) traiter du corps en tant que support identitaire à la fois « naturel » et « construit » et envisager ainsi de manière renouvelée la question de la représentation et du rapport au corps. Cette approche conçoit le handicap non seulement à partir de ses conséquences mais aussi à partir de ses causes, et en particulier d'une cause possible : l'accident. Les questions fondamentales qui la sous-tendent sont les suivantes : qu'est qu'un accident ? Quel est le rapport entre la volonté, la responsabilité, et l'accident corporel ? Qu'est-ce qui rend le corps accidenté si insupportable ? L'impact des blessures sur le grand accidenté ouvre en effet un questionnement spécifique : Comment ce corps abîmé va-t-il être perçu et accepté par les autres et par l'individu lui-même ? Comment ce dernier va-t-il éprouver le passage d'un corps « valide » à un corps « handicapé », d'un corps « normal » à un corps « différent » ? Un individu peut-il concilier deux acceptions de son corps correspondant à un « avant » et à un « après » accident ? Comment vivre avec, dans, par un nouveau corps ? Pour traiter ces questions, ce travail philosophique mobilise les points de vue sociologique, anthropologique, éthique et médical sur le handicap accidentel.

Abstract
The purpose of this thesis is to think about the body in light of the particular experience that is the accident. The aim is threefold: i) to develop a philosophical inquiry on the accidentally disabled body; ii) to situate this inquiry with respect to theories of disability, of "identity", and of "self-reconstruction"; iii) to treat the body as a medium of identity that is both "natural" and "constructed", and thus consider the question of the représentation of the body from a new perspective. This approach looks at disability not only from the point of view of its consequences, but also of its causes, and in particular of one possible cause: the accident. The fundamental questions in this investigation are the following: What is an accident? What is the relationship between the will, responsibility, and personal injury? What makes the injured body so unbearable? The impact of the damage on the severely injured opens a specific line of questioning: How will the damaged body be perceived and accepted by others and by the individual itself? How will that person experience the transition from an "able" to a "disabled" body, from a "normal" body to a "different" body?
Can a person reconcile the two senses of the body corresponding to a "before" and an "after" the accident? How to live with and in a new body? To address these issues, this philosophical work brings to bear views on accidental disability from sociology, anthropology, and medical ethics.

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