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Articles récents

Chloé Poizat

20 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com


CONNAÎTRE LE DANGER DES BEAUTÉS FATALES

Affiche
Impression offset 2 couleurs
Papier jaune 90 gr
L 40 x H 60 cm
Éditions La chienne - Jean-Jacques Tachdjian
2011

Resultats de la requete chloe poizat sur Google images

www.chloepoizat.com/

... section en construction · Série Z · À mes yeux distendus. TRAVAIL - POPCS; section en construction · Village of the children · Vox video. © 2011 - Chloé Poizat .

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L'art d'aimer

19 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Du samedi 16 juin au dimanche 23 septembre 2012 - Palais Lumière, Evian


« L’Art d’aimer, de la séduction à la volupté » présente la naissance et l’évolution du sentiment amoureux à travers différents supports artistiques. Les expositions consacrées à l’amour sont rares et parcellaires. Souhaitant donner raison à Romain Gary qui écrit : « Aimer est une aventure sans carte et sans compas où seule la prudence égare », le projet rassemble, en un choix audacieux, peintures, dessins, illustrations, correspondances, photographies et vidéos.

Par leurs diverses interprétations d’un sentiment qui concerne tout un chacun, François Boucher, Gustave Courbet, Jean-Dominique Ingres, Henri Martin, Maurice Denis, Pablo Picasso, Marc Chagall, Georges Rouault, Léonard Foujita, Tamara de Lempicka, Jacques Henri Lartigue, Robert Doisneau, Man Ray, Michel Haas ou encore Pierre et Gilles… guident les amateurs à travers un parcours jalonné de projections, de sonorisations et segmenté en huit parties : L’amour et ses mythes (Orient et Occident) ; L’amour courtois (Dame, chevalier et troubadour) ; L’art de la galanterie (pastorales et secrets d’alcôve) ; L’amour au quotidien (vie à deux, petits arrangements et plaisirs) ; Absence et fatalité ; Le courrier du cœur (correspondance et presse populaire) ; Fantasmes sur grand écran ; De l’intimité des couples (photographies & vidéo).

Riche de 350 œuvres et documents, cette exposition bénéficie de prêts de nombreuses institutions : musées, bibliothèques et fondations françaises et suisses ainsi que de collectionneurs privés.

Commissariat : Dominique Marny, Raphaële Martin-Pigalle et Robert Rocca.

Tous les jours 10h30-19h (lundi 14h-19h).

TARIFS : 10 € / 8 € (tarif réduit : groupes d’au moins 10 pers., enfants de 10 à 16 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, personnes handicapées, familles nombreuses, titulaires de la carte loisirs C.E., C.N.A.S., cartes M’ra, hôtels et résidences tourisme partenaires - sur présentation de justificatifs) ;
• Le billet d’entrée donne droit à une réduction de 30 % sur les prix d’entrée des expositions en cours à la fondation Pierre Gianadda à Martigny ;
• Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans, les groupes scolaires, UDOTSI, Léman sans frontière et les journalistes.
• Visites commentées pour les groupes, y compris scolaires, sur réservation : 50 € par groupe de 10 à 25 personnes, en plus du ticket d’entrée (sauf pour les scolaires) ;
• Visites guidées proposées aux enfants (-12 ans) accompagnés de leurs parents tous les mercredis à 16h.
• Visites commentées pour les individuels tous les jours à 14h30 : 4 € en plus du ticket d’entrée.
• Audioguides français / anglais : 4 €.

www.lemonde.fr/.../l-art-d-aimer-au-palais-d-evian_1731707_3246.... 
11 juil. 2012 – Le Monde.fr - Le Palais d'Evian présente, jusqu'au 23 septembre, une exposition sur les sentiments amoureux à travers 350 œuvres et ...
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Beach Art : Sam Dougados

18 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

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2011 Annual World Beach Art Winner's Works

Jersey’s aches were transformed into works of art as a French artist took to the sands at the 2011 annual World Beach Art Championships. Winner Sam Dougados created an abstract pattern of concentric circles and parallel lines on Jersey’s sandy coastline.  Sam Dougados’s designs of parallel lines within concentric circles transformed the beach from a plain seaside image into a fantastic display. His award-winning design, which took a number of hours to create was one of many in the World Beach Art Championships held in Jersey. The beach art was created by dragging a broom-like instrument across the sand. Judge Nick Romeril said: “Sam’s creation was captivating in design and content and beautifully mirrored the surrounding landscape.”His work received critical acclaim from the many members of the public that came to watch him at work and he is an extremely talented man indeed.”

© Sam Dougados

"C’est en voyant une vidéo de surf dans laquelle était montré le travail d’un californien que j’ai pu découvrir cet art si particulier et d’une dimension hors norme," explique Sam Dougados. "L’idée m’aura trotté dans la tête pendant un an avant que je décide de m’y essayer, ici à Biarritz, sur la plage de la côte des Basques qui s’y prête particulièrement."

Cet art relativement nouveau (récemment baptisé arenaglyphe, du latin arena ou sable et du grec glyphe ou graver) est pourtant très primitif dans sa nature : il suffit d'un bâton ou d'un râteau pour tracer donner forme à l'oeuvre imaginée. Des formes géométriques ou des dessins explicites, comme un immense code barres, la plage accueille avec générosité les créations de Sam Dougados, dont certaines peuvent occuper plusieurs centaines de mètres carrés. "La nature m’imposera toujours son métronome lunaire, m’autorisant cette 'caresse artistique' que quelques heures à certains grands coefficents, avant d’engloutir pour elle mon œuvre," déclare l'artiste. "Mon travail est double, puisque je réalise ensuite les clichés avant que la marrée n'efface mes traces."

© Sam Dougados

01

Winner Sam Dougados created an abstract pattern of concentric circles and parallel lines on Jersey’s sandy coastline

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Yannick Fournié

18 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

L'art et la matière de Yannick Fournié
Publié le 10/07/2012, dans Les Immanquables | par La Semaine du Pays basque

Né en 1972 à Pau, Yannick Fournié explose et s’impose, aujourd’hui, avec une série de grandes toiles aux thèmes atypiques, à l’image de l’homme et de son parcours.

C’est pour des raisons économiques que le jeune Yannick quitte un jour les Beaux-Arts et s’engage dans un régiment parachutiste comme nageur de combat. Trois ans plus tard, il abandonne la carrière militaire pour exercer le métier de maître-nageur et entraîneur sportif en France et à l’étranger avant de monter la Galerie C à Toulouse, lieu insolite axé sur le bien-être et le travail du corps, mais aussi fenêtre ouverte sur le monde de l’art contemporain. Habité dès l’enfance par le dessin, la peinture et la sculpture, il choisit d’y exposer des plasticiens de qualité et son initiative est remarquée. En 2010, il s’installe finalement à Biarritz, animé par le feu sacré qui alimente sa chaudière, et reprend les pinceaux laissés de côté par les nécessités d’une vie professionnelle trépidante. « Je trouve le Pays Basque intéressant car il garde un aspect traditionnel tout en laissant place à des choses de plus en plus pointues, contemporaines. La qualité de vie ici est évidemment propice au ressourcement et à l’inspiration créatrice », partage-t-il.

Le grand saut…
De son passé parachutiste lui reste le goût du grand saut ! Statut : artiste… Plus de concession, Yannick est un homme qui s’engage ! Il choisit de n’obéir qu’à son art. Une série de portraits, de « cops » (flics en anglais) prends corps. Primé en mai, au Salon des indépendants de Saint-Jean-de-Luz, il y fait ses premières armes, puis met le feu aux poudres, début juin, à la tour Saint-Nicolas de la Rochelle, ancienne forteresse militaire. La série « cops are…» accompagnée d’un jeu de son et lumière remarquable met en scène sa vision de l’image de l’autorité. On ne peut que saluer la singularité de son travail ainsi que son audace ! « Sont-ils violents, racistes, corrompus, amers, justes ? Tour à tour critiqués, dénoncés, craints puis respectés et espérés, polices et policiers alimentent différents supports : télé réalité, reportages, séries. J’aime aborder le personnage policier dans un portrait que j’associe à son gouvernement pour être cette icône finale. » Entre image pieuse et propagandiste, l’artiste pose un regard incisif et cynique mais jamais irrespectueux sur ce corps de métier. La Gendarmerie nationale ne s’y est pas trompée et dans un clin d’œil ironique et consentant, lui a acheté une de ses œuvres pour la mettre en avant lors de son exposition nationale annuelle « Gens d’art et gens d’armes » le 26 juin à l’hôtel de l’industrie, Place Saint-Germain à Paris. Il y a reçu le prix

 du jury.

www.lasemainedupaysbasque.fr/.../12610-l-art-et-la-matiere-de-yann...En cache 
10 juil. 2012 – Apnea, de Yannick Fournié, au Casino Barrière de Biarritz, du 10 juillet au 31 août. Puis à La Rochelle, Cannes, Toulouse et Paris en ...

 

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YANNICK FOURNIE Impasse Joseph Monnier, 64200, BIARRITZ. +33 662 477 595Telephone: E-mail: contact@yannickfournie.com. Numero d'Artiste:F444984 ...
 

 

Exposition 'APNEA' Yannick FOURNIE

...dans le bain
Yannick Fournié se revendique autodidacte. Il travaille comme un forcené avec régularité et passion, aime aussi les femmes et le prouve aujourd’hui encore, avec une nouvelle série de toiles, les « Swimming ladies ». « Bien sûr, il y a mon passé de maître-nageur, les baigneuses des grands classiques de l’histoire de l’art, et le lieu de vie ici se prête à ce genre, mais derrière tout cela, il y a autre chose… Ces toiles proposent une réflexion sur la condition féminine, les inégalités, le bonnet qui cache la chevelure…Les intégristes me terrifient…. Mes sujets parlent tous de l’identité, de l’individu dans la masse, qui tient à affirmer sa place et joue son équilibre dans une société souvent violente. Mes recherches portent sur les nécessités affichées d’une perfection et d’une performance, du risque de chacun d’une non-reconnaissance et du rejet social »

Yannick cherche à provoquer une prise de conscience par l’ambiguïté.
« Je suis fasciné par les costumes et les codes sociaux, par le fait que l’on doive absolument dégager quelque chose pour en imposer. J’ai travaillé dans le milieu sportif où le paraître tient une grande place. » S’il y a du cynisme dans ses portraits, Yannick porte un regard sensible, tendre et lucide sur ses personnages, laisse apparaître l’homme derrière la fonction. Les regards de ses flics sont blasés, désabusés, fatalistes, presque passifs, en contradiction totale avec leur métier. Quant à ses baigneuses, on lit dans leurs yeux et même dans le reflet de leurs lunettes, autre chose qu’une saine fatigue, due à des longueurs de bassin. Les références graphiques de l’artiste vont du pop-art au réalisme. Ses premiers émois, il les connut avec les comics, l’univers de Marvell, dynamique et coloré. Plus récemment, avec ses contemporains et pairs qu’il admire : Lucian Freud, Philippe Pasqua, auxquels on pense immédiatement lorsque l’on voit sa touche, le traitement des chairs. « Techniquement, il faut se positionner. Les influences sont là. On revient à une figuration contemporaine. L’art abstrait se casse un peu la gueule et je m’en réjouis car il y a eu des abus. Ce que j’aime dans le pop art, c’est de pouvoir parler d’actualité. J’ai plein de choses à raconter et tout va tellement vite ! » Pour l’artiste, les dés sont jetés, mais son avenir ne doit rien au hasard. Il fourmille de nouveaux désirs, de projets et sujets étonnants. Mais s’il reconnaît avoir une bonne étoile et se réjouit d’un calendrier à venir riche, varié et international, il ne le doit qu’à son énergie et à son talent.

Apnea, de Yannick Fournié, au Casino Barrière de Biarritz, du 10 juillet au 31 août. Puis à La Rochelle, Cannes, Toulouse et Paris en septembre 2012 Projet

Plus d’informations sur HYPERLINK "http://www.yannickfournie.com" www.yannickfournie.com
Galerie Géraldine Banier 54, rue Jacob, 75006 Paris et 14, rue Broquedis 64200 Biarritz


Florence Barucq

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Le massage du ventre

18 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

cestauprogramme.france2.fr/index-fr.php?page=article&id...En cache 
25 sept. 2009 – "Au bonheur du ventre " de Sandrine Galliac Alanbari, éd° Robert Jauze Richard nous parlera aujourd'hui des bienfaits des massages du ...
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Le jardin parfumé

17 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

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Le manuel d'érotologie "Le Jardin Parfumé" a été soi-disant écrit par le Cheik Nefzaoui dans la ville de Tunis en l'an 925 de l'ère Hégérienne. Le Cheik serait  
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Erik Bullot

16 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

L' Attraction universelle
Érik Bullot
2000 - France - 13 mn - 16 mm - Couleur

Observateur des physiques élémentaires du cinéma, Érik Bullot s’attache ici aux facultés d’attraction et de répulsion des corps – les planètes ouvrent la danse et en livrent l’exemple canonique. Surgissent également une funambule et son fil, une jongleuse et ses balles, entre autres vignettes. Le cinéma se retrouve ici au plus près de ses qualités fondamentales, art jubilatoire du déséquilibre. Ce film est une variation documentaire sur les figures du vertige et de la gravitation.

 

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Alain Soldeville

15 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Tatu-Tattoo, légende non précisée.
©Copyright Alain Soldeville

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Site réalisé par Paul J. Lickel / Micro Plaisance (éditions) pour Alain Soldeville, photographe : Bugis street, Paroles du corps, La plus belle des fables, Portraits ...
 
"Mes voyages en Asie depuis vingt ans m'ont permis d'assister à des cérémonies religieuses où les participants subissaient des épreuves de mortifications physiques. En rapport avec ces expériences, j'ai voulu connaître les motivations des personnes qui s'infligeaient des marquages corporels. Sur une période de trois ans, j'ai réalisé en studio des portraits d'hommes et de femmes portant des tatouages, des scarifications, des implants destinés, selon eux, à transformer leur corps en oeuvre d'art. Par des détails mis en lumière ou laissés dans la pénombre, photographiés à distance ou en gros plan, ces corps sont contemplés comme des paysages, des objets sculpturaux. Par leurs paroles, les modèles expriment leurs motivations, leurs sentiments par rapport au regard que la société porte sur eux".
 
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Fesses à l'air à l'hopital !

14 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Pétition contre les blouses d'hôpital qui laissent voir les fesses

HÔPITAUX - Extrait d'une bande dessinée publiée sur le blog "Sous la blouse" en 2010 pour protester contre les blouses d'hôpital non fermées dans le dos.

Blog "Sous la blouse"

 

Coup de gueule est celui de "Farfadoc". Cette blogueuse, médecin de famille, s'insurge contre le port de la blouse d'hôpital, ce vêtement qui ne respecte pas vraiment "la dignité" des patients. Elle a même lancé une pétition en ligne qui réunit déjà plus de 4.000 signataires.

Un vêtement "ouvert dans le dos"
Elle écrit : "Dans la plupart des établissements hospitaliers, les patients sont affublés de la même chemise. Taille unique, ouverte dans le dos, quelques boutons pression à l'arrière, et le plus souvent, découvrant leurs fesses au moindre mouvement" . Et d'invoquer "le respect de la dignité des patients", qui est "un principe inscrit dans la Charte de la personne hospitalisée, dans le Code de santé publique, dans le Code de déontologie des médecins".

gare

Selon "Farfadoc", "tout patient a droit au respect de sa dignité et de sa pudeur. Ces chemises d'hôpital ne respectent ni l'un, ni l'autre. En se levant et en marchant un peu, un patient (...) se retrouve à moitié nu devant son voisin de chambre ou les soignants, soignés, familles et amis".

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Larissa Bird

13 Août 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

The History of My Body is a meditation on childhood, adolescence and young adulthood by an emerging Australian female writer. This is a history of the merciless, well-worn path of encounters and accomplices: of family and friends, of education and confusion, of solids, liquids and gas. History traditionally pertains to fact, but the story of the body of Larissa Bird descries no such truth. In fostering a sense of objective revelation, Larissa disintegrates the formula for life granted to her from birth. The twisted deeds of her father, the ignorance of her mother, the depraved rationale of her early school education, their history remains as it was in their original encounter—a bewildering muddle of wild assimilation and the impossibility of rejection. Larissa makes no claim to know anything, and her story will probably be as elusive for you as it is for her. Your only escape from the History of her Body will be in her encounters with the fantastic secrets of Knowledge.

She admits no regret for stumbles into pretense, confusion and disarray. What is a history, but a series of forgotten events, illogical conclusions and muddled incentives? This book should be filed under fictitious memoir.

meanjin.com.au/.../review-the-history-of-my-bod...En cache  - Traduire cette page 
20 Jun 2012 – In a passage from her memoir, The History of my Body, Larissa Bird describes her Catholic girls school education, in which teachers anxiously  
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