Physiologie de la veuve
Anne CAROL |
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Éditions Champ Vallon
F 01420 Seyssel
Tél. 04 50 56 15 51 Fax 04 50 56 15 64
Le corps retrouvé
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Bayard
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Broché
- Paru le : 13/04/2012
témoins, selon lui, d'une perte du corps. Il propose de revenir sur les erreurs chrétiennes à propos de la chair et du sexe, et de tenter de tracer une voie de réconciliation entre la chair et le Verbe, le corps, le sujet et la Parole. Livre de philosophe et de théologien, cet essai volontiers polémique présente la révélation chrétienne " comme la bonne nouvelle de la présence de la vie absolue dans la vie sensible ".
Le corps à l'ouvrage
Le Mot de l'éditeur : Le corps à l'ouvrage
Pour restituer au plus près ce corps à l’ouvrage, Thierry Pillon a utilisé une étonnante série de récits, de témoignages et d’autobiographies rédigés depuis le début du xxe siècle. Ils sont précis, troublants, terribles par moments. On y découvre, par exemple, ces jeunes mineurs qui restent seuls au bal tant ils transpirent noir, le piquant irritant des cristaux sur la peau des femmes dans une usine de sucre, les métaphores guerrières pour dire le bruit, mais aussi la beauté des usines et leur silence à l’arrêt des machines, la provocation insolente des blagues sexuelles ou le besoin de caresse de ces corps meurtris.
Attentif et rigoureux, Thierry Pillon analyse à la fois les continuités et les ruptures dues aux changements techniques ou aux évolutions des sensibilités. C’est tout un monde ouvrier en mouvement qui s’incarne sous sa plume.
Cachez ce corps que je ne saurais voir ?

Body Hacking
hacking est un mouvement qui prend une véritable ampleur.
Ces adeptes se surnomment eux-mêmes "biopunks", "bio-
hackers" ou "selftranshumanistes". Ce sont parfois des
rebelles, rejetant les schémas établis, parfois de simples
explorateurs du champ des possibles. Leur point commun : ils
ont implanté dans leur corps de nouveaux composants en
mixant le biologique et l’électronique, pour développer de
nouveaux sens, éprouver des sensations nouvelles. Ce livre
part à la rencontre de ces individus qui ont entrepris une
démarche qui nous interpelle sur l’avenir de l’humain. Il
montre que ce mouvement s’inscrit dans la logique de
modifications corporelles plus anciennes et bien établies
(tatouages, piercing, chirurgie esthétique, etc.), mais va bien
plus loin et entraîne surtout des conséquences bien plus
profondes. Il explique que ces transformations (body hacking)
n’ont pas de caractère esthétique : elles visent à enrichir les
sens ou à doter le corps de fonctionnalités nouvelles.
http://www.hors-editions.com/ site des editions hors limites et lesite myspace
http://www.body-art.net/
http://www.laspirale.org/, et plus spécialement l’article consacré à Zpira
Lukas Zpira's Myspace
leur corps, en redéfinir les contours ou les fonctions, avec pour
effet de repousser les limites de l’humain. L’auteur répond
également à toutes les questions que ce mouvement soulève, à
la croisée des sciences, de la religion et des lois, nous forçant à
repenser l’avenir et les limites de l’être humain. Notre corps
nous appartient-il vraiment, au point d’en altérer le
fonctionnement ou d’y adjoindre de nouvelles fonctions ?
Pourquoi des individus, qui poussent la logique de liberté
individuelle à son paroxysme, entreprennent sur eux-mêmes
des modifications physiques ? Quels sont les dangers inhérents
à cette démarche ? Comment ce mouvement évoluera-t-il ?
Quelles sont ses conséquences à long terme ?
Cyril Fiévet, ingénieur, journaliste et auteur, traite de
l'innovation et de l'impact des technologies sur la société
depuis une quinzaine d'années. Rédacteur en chef de plusieurs
magazines, il a contribué ces dernières années à InternetActu,
Le monde de l'Intelligence, Comment ça marche, et a été
correspondant en France du magazine américain Small Times.
Il fut également le traducteur de l’ouvrage Everyware d’Adam
Greenfield. Body hacking est son sixième livre.
Le corps des africaines
Femmes Africaines
ANTHROPOLOGIE, ETHNOLOGIE, CIVILISATION LITTÉRATURE ETUDES LITTÉRAIRES, CRITIQUES QUESTIONS DE GENRE AFRIQUE NOIRE
A travers un corpus varié, représentatif de divers espaces de l'histoire et de la géographie littéraires africaines, l'auteur aborde le destin romanesque de l'objet étudié : le corps féminin.
Corps, éthique et fonction éducative
La différence en question
Xavier Gallut
Savoir et formation - Genre et
éducation
EDUCATION
SANTÉ,
MÉDECINE HANDICAP TRAVAIL SOCIAL
Il s'agit de faire du corps le point de départ d'une réflexion destinée à éclairer les enjeux à l'oeuvre dans le rapport à l'autre, lorsque celui-ci présente un
handicap. Pourquoi le corps est-il source de préoccupation permanente ? Quels sont les enjeux relatifs à la corporéité dans l'action éducative ? Pourquoi l'apparence a-t-elle tant d'importance ?
Que nous révèle ce "souci" du corps ? Cette étude s'adresse particulièrement aux professionnels de l'éducation spécialisée travaillant auprès des personnes handicapées, aux psychologues et aux
formateurs en travail social.
Pourquoi être heureux quand on peut être normal ?
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Olivier (Editions de l')
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Broché
- Paru le : 03/05/2012
"La vie est faite de couches, elle est fluide, mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester, l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire, Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles - et à tous ceux - pour qui la liberté est à conquérir.
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Louise has flowing Pre-Raphaelite hair, and a body besieged by leukaemia, her cells waging war: "here they come, hurtling through the bloodstream trying to pick a fight." But Louise is not dead, merely abandoned by the narrator with the best of intentions. As the lament continues, striking in its beauty and dazzling inventiveness, more of the love story is revealed. The narrator has been a female Lothario, falling in love, and out again, swaggering like Mercutio. But then she meets Louise, married to Elgin--"very eminent, very dull, very rich"--and is hopelessly, helplessly smitten: "I didn't only want Louise's flesh, I wanted her bones, her blood, her tissues, the sinews that bound her together." Elgin persuades her to leave for the good of Louise's health, and all is undone.
Winterson does not shy away from grief, or joy. She has acutely described how love can transform a life, but also destroy it too. But, for Winterson, where there is love there is hope: "I stretch out my hand and reach the corners of the world ... I don't know if this is a happy ending but here we are let loose in open fields." Eithne Farry
This fourth effort from British writer Winterson ( Sexing the Cherry ) is a high-concept erotic novelette, a Vox for the postmarital crowd. The narrator, a lifelong philanderer ("I used to think
marriage was a plate-glass window just begging for a brick"), has fallen in love with Louise, a pre-Raphaelite beauty. Louise is unhappily married to a workaholic cancer researcher, so the
narrator leads her into a sexually combative affair. This scenario seems obvious enough, but Winterson never reveals whether the narrator is male or female. Rather, she teases readers out of
their expectations about women and men and romance: Louise calls the narrator "the most beautiful creature male or female that I have ever seen," and the narrator observes, "I thought difference
was rated to be the largest part of sexual attraction but there are so many things about us that are the same." When the narrator breaks off the affair after learning that Louise has cancer--only
her husband can cure her--the work turns into a eulogy for lost love. Winterson manipulates gender expertly here, but her real achievement is her manipulation of genre : the capacious
first-person narration, now addressed to the reader, now to the lover, enfolds aphorisms, meditations on extracts from an anatomy textbook, and essayistic riffs on science, virtual reality and
the art of fiction ("I don't want to reproduce, I want to create something entirely new"). "It's as if Louise never existed," the narrator observes, "like a character in a book. Did I invent
her?" One wonders, as Winterson intends, and then wonders some more. For Louise--and the narrator's love for her--never seems quite real; in this cold-hearted novel love itself, however
eloquently expressed, is finally nothing more than a product of the imagination.
Copyright 1992 Reed Business Information, Inc. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Corps Migrants/ Corps des affects
Ce nouveau numéro de CORPS poursuit la confrontation et la mise en perspective des travaux en sciences humaines et sociales et ceux en sciences de la vie.
Le numéro s'ouvre sur deux entretiens avec des spécialistes du corps :
Régine Detambel, écrivaine participant à l'Oulipo et s'attachant dans ses ouvrages aux traces des événements et du temps sur la peau, notamment.
Éric Fassin, sociologue, qui s'intéresse notamment à la manière dont se réalise la subjectivation des normes publiques, en montrant que le corps est un territoire politique et comment il est
l'objet d'assignations.
Les deux dossiers centraux " Corps des affects " (dirigé par Nicoletta Diasio et Virgine Vinel) et " Corps en migrations " (dirigé par Chantal Crenn et Simona Tersigni), chacun composé de huit
textes de spécialistes, s'articulent autour de la nouvelle notion de " milieu corporel ", qui implique adaptations, émotions et réorganisations de soi parmi les autres.
Informations sur la société, catalogue des ouvrages et périodiques, nouveautés et vente en ligne.
Le corps à l'école

un dossier complet à ce thème(http://www.cahiers-pedagogiques.com/No497-Le-corps-a-l-ecole.html), , ainsi que celui de l'éducation physique et sportive (http://www.cahiers-pedagogiques.com/Developper-des-competences-en-EPS.html),