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Archéologie de l’esclavage colonial

25 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Colloque international

                    

« Archéologie de l’esclavage colonial »

09/05/12 - 11/05/12

9h30-17h30

 

Théâtre Claude Lévi-Strauss 

Entrée libre dans la limite des places disponibles

En français et en anglais avec traduction simultanée.

 

Colloque organisé par l’Inrap,
le Comité pour la mémoire et l’histoire et de l’esclavage,

le ministère de le Culture et de la Communication,
et le musée du quai Branly

 

 

                 

 

 

 

 

Dans le cadre de la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition, le 10 mai 2012, le Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage, le ministère de la Culture et de la Communication, l’Institut national de recherches archéologiques préventives et le musée du quai Branly organisent le colloque international Archéologie de l’esclavage colonial les 9, 10 et 11 mai 2012 au théâtre Claude Lévi-Strauss.

 

Autour d’une trentaine de spécialistes étrangers et français, ce rendez-vous est l’occasion de faire le point sur les avancées récentes de la connaissance de la traite, de l’esclavage et du marronnage dans le domaine de l’archéologie.

 

Confrontant études de cas et synthèses sur l’archéologie de l’esclavage aux États-Unis, à Cuba, en Colombie, au Brésil, aux Antilles, au Cap-Vert, au Sénégal, au Ghana, en Afrique-du-Sud, en Afrique de l’Est, à La Réunion et à l’Ile Maurice, ce rendez-vous propose une meilleure prise en compte du patrimoine archéologique du système esclavagiste, de sa conservation et de sa mise en valeur.

 

 

 

 

 

 

L’histoire de l’esclavage a connu ces dernières années un développement important. Mais les apports de l’archéologie de la période coloniale à la connaissance du système esclavagiste sont encore mal partagés. Pourtant, l’archéologie joue un rôle décisif pour documenter les conditions de vie des esclaves, leurs habitats, les établissements où ils furent asservis – souvent détruits mais dont subsistent les fondations –, les enclaves du marronnage, les rites d’inhumation, l’état sanitaire des défunts, leur âge, leur sexe, etc. Les archives du sol apportent des informations sans équivalent : les archives écrites, lorsqu’elles existent, sont pour la plupart univoques – émanant de l’État, des négriers ou des propriétaires. En étudiant la culture matérielle des esclaves, l’archéologie – et en particulier, depuis une vingtaine d’années, l’archéologie préventive – contribue de façon décisive aux recherches sur l’esclavage colonial. La traite, l’habitat, la vie quotidienne, le marronnage ou les pratiques funéraires bénéficient ainsi d’une documentation nouvelle.

Des fouilles récentes au Brésil, en Afrique de l’Est, en Afrique du Sud et au Ghana, ainsi que des recherches sous-marines livrent des données importantes sur la traite négrière.

Si les quartiers d’esclaves – les rues « cases-nègres » – ont presque tous disparu, ils « survivent » dans le sol à l’état de structures archéologiques dont l’étude est d’un grand intérêt historique. Des travaux en Louisiane, à Cuba, aux Antilles françaises, au Brésil et au Cap-Vert renouvellent la documentation sur l’habitat et la culture matérielle des esclaves.

Plus difficile à appréhender en archéologie, le marronnage est aujourd’hui étudié aux États-Unis, à Cuba, au Brésil, à La Réunion et à l’île Maurice.

L’étude des « cimetières » aux États-Unis, en Guadeloupe, en Martinique ou à La Réunion fournit des informations remarquables sur les conditions d’inhumation des esclaves et sur les pathologies caractéristiques de populations asservies (carences, dégradations de la dentition, infections, maladies dégénératives…).

 

Confrontant études de cas et synthèses sur l’archéologie de l’esclavage aux Etats-Unis, à la Barbade, à Cuba, au Brésil, aux Antilles françaises, au Cap-Vert, en Afrique de l’Est, du Sud et de l’Ouest, à La Réunion et à l’Ile Maurice, ce colloque fera le point sur les avancées récentes de la connaissance de la traite, de l’esclavage et du marronnage, et proposera une meilleure prise en compte du patrimoine archéologique du système esclavagiste, de sa conservation et de mise en valeur.

 


 

* Programme détaillé

 

Programmation en cours – Rendez-vous et intervenants susceptibles de légères modifications

 

Mercredi 09/05/2012 – Matin

 

9h30 : Introductions par Stéphane Martin, président du musée du quai Branly, et Jean-Paul Jacob, président de l’Inrap

 

 

États et enjeux de l’archéologie de l’esclavage colonial

 

Séance présidée par Theresa A. Singleton, Maxwell School of Syracuse University

 

10h : Mise en perspective, par Françoise Vergès, Comité pour l’histoire et la mémoire de l’esclavage

 

10h30 : Présence-absence : tendances récentes de l’archéologie et de la mémoire de l’esclavage

par Alessandra Cummins, The Barbados Museum and Historical Society

 

11h : Pause

 

11h15 : Les sources archéologiques pour l’étude de l’esclavage à Cuba et aux Caraïbes

par Lourdes S. Domínguez González, Colegio de San Gerómino, La Havane

 

11h45 : L’archéologie de l’esclavage dans le domaine français

par Sylvie Jérémie, Inrap

 

12h15 : Discussion

 

 

Mercredi 09/05/2012 – Après-midi

 

Vestiges de la traite négrière

 

Séance présidée par Laurella Rinçon, direction générale des Patrimoines, ministère de la Culture et de la Communication 

 

14h30 : Archéologie de la traite en Afrique de l’Est

par Chapurukha M. Kusimba, The Field Museum, Chicago

 

15h : Perspectives et enjeux de la fouille des navires négriers

par Max Guérout, Groupe de recherche en archéologie navale

 

15h30 : À la recherche du Valongo, le quai des esclaves à Rio de Janeiro au 19e  siècle.

par Tania Andrade Lima, Museu Nacional de l’Universidade Federal do Rio de Janeiro

 

16h: Pause

 

16h15 : Enjeux de l’archéologie de l’esclavage colonial en Colombie

par Luz Adriana Maya Restrepo, Universidad de los Andes, Bogóta

 

16h45 : Quelques perspectives sur l’archéologie, la cosmologie et les rituels du passé africain à partir du cas de Yikpabongo en pays Koma au nord du Ghana

par Benjamin Kankpeyeng, Université du Ghana, Legon

 

17h15 : La fouille sous-marine du navire négrier hollandais Meermin et le Southern African Slave Wrecks project 

par Jaco Boshoff, Iziko Museums, Le Cap

 

17h15 : Discussion

 

Jeudi 10/05/2012 – Après-midi

 

L’habitat et la culture matérielle

 

Séance présidée par Frédéric Régent, Université de Paris I

 

14h30 : Vivre entouré de murs : archéologie d’une communauté d’esclaves à Cuba

par Theresa A. Singleton, Maxwell School of Syracuse University

 

15h : Le système colonial en Guyane, données archéologiques

par Nathalie Cazelles, université de Paris I

 

15h30 : Esclaves et missionnaires au Cap Vert

par Chris Evans, University of Cambridge

 

16h : Pause

 

16h15 : The President’s House à Philadelphie : la liberté, l’esclavage et la création d’une nouvelle nation

par Jed Levin, National Park Service, Philadelphie

 

16h45 : De la découverte d’un cimetière d’esclaves à la création d’un service d’archéologie à La Réunion

par Edouard Jacquot, service régional de l’Archéologie, DRAC de La Réunion, Saint-Denis

 

17h15 : Archéologie du contrôle social et religieux dans La Plantation Magnolia à Natchitoches Parish, Louisiane

par Kenneth Brown, University of Houston, Texas

 

17h45 : Les rues «  cases nègres » aux Antilles et en Guyane

par Kenneth Kelly, University of South Carolina

 

18h15: Discussion

 

Vendredi 11/05/2012 – Matin

 

Indices du marronnage

 

Séance présidée par André Delpuech, musée du quai Branly

 

9h30 : La résistance des esclaves au Brésil : archéologie et histoire

par Lùcio Menezes Ferreira, université fédérale de Pelotas

 

10h : Le petit marronnage, une adaptation épisodique dans l'océan Indien : données de  terrain et pertinence globale

par Amitava Chowdhury, Queen’s University, Kingston, Ontario

 

10h30 : Le foyer de Harriet Tubman : une tradition afro-américaine de la conquête de la liberté et de l’action sociale

par Douglas V. Armstrong, Syracuse University

 

11h : Pause

 

11h15 : Un site de marronnage à Palmares au 17e siècle

par Pedro Paulo Abreu Funari, université de Campinas, Brésil

 

11h45 : Archéologie du marronnage à La Réunion : l’exemple de la « vallée secrète » dans le cirque de Cilaos à la Réunion

par Anne-Laure Dijoux, université de Paris I

 

12h15 : Discussion

 


Vendredi 11/05/2012 – Après-midi

 

Archéologie des « cimetières » d’esclaves

 

Séance présidée par Jean Paul Jacob, Inrap

 

14h30 : L’esclave dans la société coloniale. Les cimetières de Guadeloupe, un champ d’investigation privilégié par Thomas Romon, Inrap

 

15h : L’African Burial Ground de New York : d’un cimetière oublié du 17e siècle à un monument national

par Michael Blakey, Institute for Historical Biology, College of William and Mary, Williamsburg, Virginie

 

15h30 : Conditions de vie, conditions de mort : le cimetière de l’Anse Sainte-Marguerite en Guadeloupe par Patrice Courtaud, CNRS

 

16h : Le cimetière d’esclaves de Torcy en Guyane

Catherine Rigeade, Inrap

 

Discussion

 

16h45 : Conclusion par Ibrahima Thioub, Université Cheikh Anta Diop, Dakar

 

 

Programmation : André Delpuech, musée du quai Branly ; Laurella Rinçon, direction générale des Patrimoines du ministère de la Culture et de la Communication ; Paul Salmona, Inrap ; Anne-Christine Taylor, musée du quai Branly ; Françoise Vergès, CPMHE.

 

Coordination : Martine Scoupe, Inrap ; Anna Gianotti Laban, musée du quai Branly.

 

 

Anna Gianotti Laban

Responsable de la coordination des manifestations scientifiques

Département de la recherche et de l’enseignement

*musée du quai Branly

01 56 61 70 24

anna.laban@quaibranly.fr

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Jonathan Littell

24 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

1754-001-120315153857
Une vieille histoire
2012 ‒ 128 pages ‒ 12 x 21 cm ‒ ISBN 978.2.85194.831.1

Il régnait ici une luminosité diffuse, presque opaque, je ne voyais aucune source de lumière et pouvais juste assez distinguer les parois pour me diriger […]. Parfois pour me guider, je tendais les doigts, et c’est ainsi qu’ils heurtèrent un objet métallique, une poignée dont je me saisis et que je poussai d’un geste décidé, suivant le mouvement de la porte qui s’ouvrait. Je me retrouvai dans un jardin inconnu mais qui néanmoins me paraissait vaguement familier, un jardin presque sauvage, abandonné, envahi par les mauvaises herbes.

Jonathan Littell excelle dans l’élaboration de récits labyrinthiques et de mises en abîme vertigineuses. Il semble cette fois s’être perdu dans le théâtre magique inventé par Herman Hesse dans Loup des steppes, lieu de tous les fantasmes, où chaque porte s’ouvre sur une réalité autre, plus conforme aux désirs et aboutissant aux délires les plus improbables. Et ce sont ici les bas-fonds de l’âme qui se reflètent à l’infini dans une inquiétante galerie de miroirs.

 

www.fatamorgana.fr/livres/une-vieille-histoire
Jonathan Littell. Une vieille histoire. 2012 ‒ 128 pages ‒ 12 x 21 cm ‒ ISBN 978.2.85194.831.1. Il régnait ici une luminosité diffuse, presque opaque, je ne ...
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Lebensborn

23 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

 

 

Présentation de l’éditeur :

 

 

Erwin, Gisèle, Walter, Christiane ont aujourd’hui près de 70 ans.

Ces Français, marqués à jamais parle sceau de leur étrange origine, sont nés dans une maternité SS. Leur secret renvoie à l’un des projets nazis les plus terrifiants entrepris entre 1935 et 1945: créer une « race supérieure », future élite du Ille Reich. Ce livre raconte la création de nurseries spéciales, les Lebensborn, par la SS. Les deux parents étaient sélectionnés selon leur « pureté raciale aryenne » : grands, blonds, les yeux bleus.

 

Phoro d'une affiche montrant des photos d'enfants, au centre Croix Rouge en allemand.

http://d-d.natanson.pagesperso-orange.fr/race_aryenne.htm

 

 

Les nourrissons y étaient abandonnés, puis adoptés par des familles modèles. Leur véritable identité était alors falsifiée. Ces enfants devenus adultes dévoilent pour la première fois leur histoire, depuis leur naissance dans un établissement du Lebensborn jusqu’à la maison-mère de l’organisation, ainsi que leur quête vertigineuse pour retrouver, des décennies plus tard, la trace de leurs parents.
Une enquête inédite qui met au jour une part sombre de l’histoire de France.


Couverture de Blonde Kinder für Himmler
Blonde Kinder für Himmler

Der Lebensborn e.V. im Dritten Reich

Histoire

VDM Verlag Dr. MŸller Aktiengesellschaft & Co. KG (20-05-2008) - ISBN-13: 978-3-639-02245-2

Lire la suite ... 59.00 €
Couverture de Der Lebensborn e.V.
Der Lebensborn e.V.

Eine Darstellung der Aktivitäten des Lebensborn e.V. im Kontext der nationalsozialistischen Rassenideologie

20ème Siècle (jusqu'en 1945)

VDM Verlag Dr. MŸller Aktiengesellschaft & Co. KG (07-04-2008) - ISBN-13: 978-3-8364-9617-9

Couverture de Kind L 364
Kind L 364

Eine Lebensborn-Familiengeschichte

20ème Siècle (jusqu'en 1945)

Rowohlt, Berlin (05-12-2006) - ISBN-13: 978-3-87134-564-7

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Body Architecture

22 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Conference

SAH is now accepting abstracts for its 66th Annual Conference in Buffalo, NY, April 10-14, 2013. Please submit abstracts for papers no later than June 1st for the thematic sessions or open session.

From the Vitruvian Man to Le Corbusier’s Modulor, the human body has served as both measure and metaphor in architectural design. In scholarly considerations of this relationship, it is often architecture which is seen to change while the status of the body remains static, a biological constant unaffected by historical time.

 

 

      i
       
L'architecture au corps


This session is devoted to research which takes both buildings and bodies to be in dynamic and reciprocal evolution. It poses one overarching question: how does a period’s understanding of the body as a cultural subject or object of scientia impinge upon architectural thought or design? For instance, historians often observe that Gothic architecture appealed to the senses, but how had the understanding of the senses evolved at that time, and how was this knowledge framed culturally and then translated into new demands on space? How were traditions in mortuary architecture or places of execution affected by human dissections as early as the thirteenth century? How did the inscription of cultural values on the body help shape architectural form or organization?

Whereas Barbara Stafford in Body Criticism brilliantly analyzed new relationships between aesthetic and medical practices in the Enlightenment – all made possible by the visibility of formerly unseeable parts of the world – this session emphasizes pre-Enlightenment cultures and science. Misconceptions of various “dark” ages or “dark” geographies can still blind historians to unlikely inspirations for architectural form in so-called pre-scientific societies. Theoretically adventurous submissions are welcome, as are those arguing for the full inclusion of the pre-modern era within research on sexed, medical, and architectural bodies as well as spaces and behaviors. Proposals on modern topics will be considered, provided they establish a transformation of a pre-modern condition.

 

Session chair: Kim Sexton, Associate Professor, University of Arkansas; ksexton@uark.edu

http://www.sah.org/index.php?src=gendocs&ref=Call%20for%20papers%202013&category=Annual%20Conference%202013&submenu=1#f

 

 

 

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J'ai avorté et je vais bien merci

21 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

C'est l'histoire d'un groupe de femmes qui en ont marre de s'entendre dire qu'elles vont mal
C'est l'histoire de l'appel lancé il y a un an pour dire qu'

elles ont avorté, et elles vont bien merci !

C'est l'histoire du blog qui a suivi pour laisser la place aux témoignages
Ce sont surtout ces histoires de femmes qui ont avorté et qui vont bien
qui ont fait 
un choix qui doit être respecté, 
qui ont exercé leur droit et ne sont ni inconséquentes ni idiotes

C'est enfin 
un livre issu de ces témoignages
qui sort aujourd"hui dans toutes les bonnes librairies
ou sur le site des éditions La Ville Brûle
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Phia Ménard

20 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Phia Ménard
In “P.P.P.” (Perillous Parallel Position) transgender artist Phia Ménard, while manipulating with near half a ton of ice at the theatre Scena Travno, touched the audience with her intimate stage confession dedicated in her final address to the festival director Ivan Kralj, and the message “Do not let him leave”. She emphasized how this is one of the rare festivals with real understanding of artists
www.villette.com/.../HautesTensions-2012-Cie-Non-Nova-Phia-Mena...
Cie Non Nova/Phia Ménard - "Vortex" ... Parking : Parc de la Villette nord ... de quelques bouts de scotch et d'une arène de ventilateurs, Phia Ménard dirige une ...

Le Vortex est une circulation tourbillonnaire aussi appelée " oeil du cyclone"... Phia Ménard s'y engouffre et engage un corps à corps trouble, ambigu et fascinant avec une matière impalpable, imprévisible et indomptable : le vent.

Au-delà d'une performance, Vortex est une allégorie de la naissance et de la vie. De cet instant qui nous montre tel que l'on est sans carapaces, ni oripeaux. "...C'est le vent qui déshabille, qui retire les couches, qui effeuille qui érode le corps... pour en définitive laisser apparaître ce qu'il est vraiment." Phia Ménard

Vortex pose la question de l'identité : sous combien de couches nous cachons-nous, nous protégeons-nous ? Qui de la surface ou de la profondeur de l'Être sommeille en nous ? Comment échapper à l'emprise des artifices pour laisser paraître ce que nous sommes ?

 

Que fait-on de toutes ces matières qui nous entourent, nous enserrent, nous polluent ? Vortex de la Cie NON NOVA - Photo Jean Luc Beaujault
Que fait-on de toutes ces matières qui nous entourent, nous enserrent, nous polluent ? Vortex de la Cie NON NOVA - Photo Jean Luc Beaujault
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Est-ce le corps qui danse ?

19 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Giovanni Lista, Francesco Vezzoli, un artiste vezzoso
Doïna Lemny, Brancusi : « La sculpture nous fait danser »
Pilar Saltini, La peinture est une conquête

DOSSIER : PHOTOGRAPHIE & DANSE
Michelle Debat, Photographie & danse
Michelle Debat, L'oiseau comme figure de la danse
Odile Duboc, Vols d’oiseaux
Anne Nordmann, La cartographie du réel
Odile Duboc, L’instantané chorégraphique
Michel Guérin, La trans(e)-parence, (éclair vs écran)
Philippe Guisgand, Ce que la photographie dit à la danse
Julie Perrin, Le chorégraphique traversé par la photographie. À propos du temps dans la composition : Rainer, Paxton et Charmatz
Patricia Brignone, Danse & photographie : éloge de l’indiciel
Myriam Gourfink et Françoise Rognerud, La danseuse photographe : la photographie comme « état de témoin »
Alix de Morant, « Io e un altro : deux femmes, une seule peau »
Christian Gattinoni, Toutes sortes de corps en transit images
Bernard Andrieu, Est-ce le corps qui danse ?
Jacqueline Salmon, Tout mouvement regardé avec l’intention de regarder de la danse
Corinne Mercadier, Ce qu'a vu la photographie
Daniel Linehan, Faire c’est non pas dire mais c’est montrer …, à propos de Montage for Three (2009) de Daniel Linehan
Danièle Meaux, Le livre de photographies comme espace d’une chorégraphie (à propos de Prague de Magdi Senadji)
Isabelle Giovacchini, Révérences
Mathias Auclair, Les danseuses de l’Opéra de Paris et la photographie (1860-1914)
CosimoChiarelli, Etienne Bertrand Weill, danseur d’images
Louise Provencher, Échographie(s). Ou de quelques images de l’écoute
Michelle Debat, Où il est question de « danseuses absolues »
Daniel Dobbels, La photographie est
Mathilde Monnier, À partir de la danse…
Edwige Phitoussi, Processus imageants dans la recherche chorégraphique d’Alban Richard
Jacinto Lageira, João Fiadeiro. Repli dans le noir
Germana Civera, L’image en partage : à propos de Splendeur inespérée de Germana Civera

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PENSER LE CORPS

18 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Livre électronique 4 | 2004 - Penser le corps - Méthodos
Détails
Contributeur : UMR 8519 - Savoir et textes (Auteur)
Publication : 02/05/2004
Langue : Français
Éditeur : Savoirs textes langage - UMR 8163
Revue : Méthodos
ISBN 10 : 2-82180-448-2
ISBN : 978-2-82180-448-7

 

UNIVERSITE DE GAFSA

INSTITUT SUPERIEUR DES ETUDES APPLIQUEES EN HUMANITES DE GAFSA

DEPARTMENT D’ANGLAIS

Colloque International

PENSER LE CORPS

dans la pensée, l’art et la langue 

22-23-24 Novembre 2012

Argumentaire

     Si le corps dans ses simples manifestations, est la forme de notre présence dans ce monde, toutes les questions qui s’y posent et toutes les problématiques qu’il  relève, constituent un point d’intersection entre plusieurs disciplines  comme la philosophie, l’anthropologie, la psychologie, la sociologie, la religion, la médecine, la linguistique, l’intelligence artificielle, la science de l’informatique.

      En effet, même si le degré de l’attention accordée par ces disciplines se différencie de l’une à l’autre et se distingue même d’une culture à l’autre, le corps demeure tout de même un sujet singulièrement interverti. Certes, leurs réponses à la question du corps, peuvent être une « géographie culturelle » en retenant les diverses significations que pourrait prendre le terme « géographie ».

     Ainsi, nos conceptions et nos perceptions émanent de nos corps et constituent, en conséquence, le fondement de cette notion dite « géographie culturelle ». Les dualités comme le sacré et le profane, le désir et le mal, le bon et le mauvais, le centre et la marge, le pur et l’impur, et même la féminité et la masculinité, ne sont que des dualités versatiles d’une société à une autre, même si elles entretiennent une parenté biologique. Ceci désigne que nous ne pouvons ni vivre ni penser hors de nos corps parce qu’il est, non seulement l’objet de pensée, mais aussi la pensée elle-même. C’est avec nos corps que nous existons et  que nous pouvons concevoir l’existence aussi bien pour nous-mêmes que pour les autres. Il s’agit de percevoir cette existence et de la faire apercevoir aux autres. Mieux encore, nous apercevons, d’une part, des signes sémiotiques ayant des significations variables et nous concevons de l’autre, l’existence et nos corps sous forme de percepts, de concepts et de métaphores qui sont utiles à notre survie.

     Le corps a, donc, ses propres questions, voire tout ce qui  inquiète et incite toute culture à réagir ou à être déstabilisée. Des questions qui l’embrouillent et l’obligent à briser son silence. D’ailleurs, l’histoire culturelle témoigne, en Occident comme en Orient, d’une relation qui oscille entre la marginalisation et l’apprivoisement, entre l’esclavagisme et la reconnaissance, ce qui signifie, en somme, que cette relation représente en soi une problématique.

     Ainsi, « le corps pense » et « penser le corps » posent conjointement plusieurs questionnements qui émergent avec le développement de plusieurs champs de réflexion. Ce colloque tente d’aborder des différentes problématiques se rapportant au corps selon les idées réparties à travers cet argumentaire. Parallèlement, bien qu’il ne soit pas de nature à remplir toutes les promesses qui ont été énoncées, il compte, essentiellement, participer à l’élaboration d’une lecture illuminative d’une partie de la problématique du corps selon les axes suivants sans exclure d’autres pistes de réflexions :

 

Ecrire le corps et le corps écrit

-Le corps dans le poème

-Le corps narrateur et le corps narré

-Le corps dans le théâtre

Le corps et la question de la divergence

-Le corps dans le langage

-Le corps et la métaphore

- Le corps et la publicité

             -Le corps et l’idée de l’ordre

******************

Ce colloque est organisé par le département Anglais a  l'Institut supérieur des études appliquées en humanités de Gafsa (ISEAHG – Tunisie).

Les propositions de communication sont à envoyer, avant le 30 Juin 2012, en fichier joint (format WORD) aux adresses suivantes : zitzit@excite.com. Les communications peuvent être en Français ou en Anglais ou en Arabe Les participants seront informés de leur participation avant le 31 Juillet 2012.

Elles comporteront un titre et un résumé de 200 mots, qui précisera le sujet, le corpus d'étude et l'approche proposée. Elles comporteront aussi des informations pratiques (nom, prénom, institution, adresse postale, téléphone et adresse électronique).

Responsable : Institut supérieur des études appliquées en humanités de Gafsa

Adresse : Institut Supérieur des études appliquées en humanités de Gafsa, Cité des Jeunes, 2100 Gafsa

 

 

Responsable : Zitouni Hatem

 

Adresse : Cité des Jeunes 2133 Gafsa- Tunisie

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Le corps de l'enseignant

17 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Appel à contribution

Mercredi 15 août 2012

Le corps de l’enseignant : gestes, voix et postures

Publié le lundi 16 avril 2012 par Loïc Le Pape

Résumé

Appel à contributions, Synergies France n° 11. Le numéro 11 de Synergies France portera sur le corps de l’enseignant : gestes, voix et postures. Les contributions pour ce numéro de la revue Synergies France devront traiter du corps et / ou de la voix de l’enseignant. Les contributeurs provenant de disciplines comme la didactique et les sciences de l’éducation sont bien sûr les bienvenues ainsi que d’autres disciplines telles que la médecine, l’orthophonie, la phonétique, la psychologie, les études de la gestuelle, etc. Il sera question de la formation des enseignants mais aussi, plus généralement du corps dans la classe. Les études visant à décrire la voix et / ou la gestuelle didactique sont encouragées ainsi que les études plus expérimentales sur l’impact de la voix ou de la gestuelle sur la transmission et l’apprentissage.

Annonce

Appel à contributions, Synergies France n° 11 : “Le corps de l’enseignant : gestes, voix et postures”

« […] l’enseignement n’est pas qu’une question de savoir. Les mots sont dits par une personne qui s’adresse à d’autres personnes. Ils sont portés par une voix, une intention et une présence physique. Le savoir n’est pas le seul élément constituant de l’enseignement qui est, ne l’oublions pas, une forme orale non détachée de la personne qui l’énonce. » (Cicurel, 2011 : 6).

Argumentaire 

Tout comme le comédien, l’enseignant utilise son corps et sa voix comme outils de travail, à la fois en tant que stratégie de transmission et en tant qu’outil d’animation. Cependant, le corps de l’enseignant et en particulier les techniques de la voix et de la gestuelle constituent un “angle mort” des recherches en éducation et en didactique. En formation des maitres comme à l’université, les heures accordées à la formation sur ce thème sont souvent assurées par des intervenants dont la voix est certes un outil privilégié (chanteurs, acteurs…) mais qui n’ont qu’une connaissance limitée du milieu d’exercice des enseignants. En conséquence, il subsiste un décalage entre leurs propositions de formation et la réalité des situations professionnelles. La gestuelle, quant à elle, est souvent considérée à tort comme accessoire. Or, son impact sur la compréhension en langue maternelle comme étrangère, sur l’apprentissage et sur la mémorisation est tel (Tellier, Alibali, Hostetter) qu’il est regrettable qu’elle n’occupe pas une place plus importante en formation.

Les contributions pour ce numéro de la revue Synergies France devront traiter du corps et/ou de la voix de l’enseignant. Les contributeurs provenant de disciplines comme la didactique et les sciences de l’éducation sont bien sûr les bienvenues ainsi que d’autres disciplines telles que la médecine, l’orthophonie, la phonétique, la psychologie, les études de la gestuelle, etc.

Il sera question de la formation des enseignants mais aussi, plus généralement du corps dans la classe. Les études visant à décrire la voix et/ou la gestuelle didactique sont encouragées ainsi que les études plus expérimentales sur l’impact de la voix ou de la gestuelle sur la transmission et l’apprentissage.

Les différents axes proposés sont les suivants (ils peuvent bien entendu être combinés entre eux) :

1. Voix de l’enseignant : caractéristiques et pathologies

1.1- La voix de l’enseignant et ses caractéristiques prosodiques et acoustiques

L’INSERM (2006 : 139) définit la voix didactique comme une voix projetée (65 à 80 dB), mise en place lorsque le locuteur a l’intention d’agir sur l’auditeur (intéresser, faire passer un message, expliquer, convaincre, enthousiasmer…). En situation de classe, l’enseignant est amené à projeter sa voix de façon prolongée (Rantala et coll., 1998 ; Sapienza et coll., 1999). Les caractéristiques prosodiques de la voix de l’enseignant varient en fonction du public à qui il s’adresse, en fonction de la disposition de l’auditoire et des conditions environnementales particulières.

Dans cet axe, les contributions porteront sur la description de la voix didactique dans différentes conditions (par exemple : modulations de la voix d’un même individu dans des conditions sonores différentes) ou dans différentes fonctions pédagogiques (voix lors de la gestion de classe vs dans la délivrance de consignes vs dans l’explication…).

1.2- L’effort vocal et les pathologies de la voix chez l’enseignant

L’effort vocal est une des caractéristiques évidentes de la profession d’enseignant à la fois du point de vue de la durée d’utilisation de la voix et de l’intensité vocale requise. Les problèmes de voix de l’enseignant sont fréquents et ils génèrent une forme de souffrance au travail. Les arrêts de travail consécutifs aux troubles de la voix représentent ainsi un réel enjeu de santé publique (Inserm, 2007).

On peut définir l’effort vocal de façon globale comme une tentative d’adaptation de l’enseignant à l’ensemble de ces contraintes ; le forçage vocal peut lui être défini comme un effort excessif associé à un risque de complication (Garnier, 2007).

Dans cet axe, les contributions porteront sur les caractéristiques de l’effort vocal et l’impact de certains paramètres (stress, bruit ambiant) sur cet effort.

2. Posturo-Mimo-Gestuelle de l’enseignant : aspects, fonctions, impacts

2.1- Le geste pédagogique

Le geste pédagogique (ou GP), au sens où nous l’entendons, est principalement un geste des bras et des mains (mais il peut aussi être composé de mimiques faciales) utilisé par l’enseignant dans un but pédagogique (Tellier, 2008).

La matière enseignée peut avoir un impact sur la quantité de gestes produits, sur la taille de l’espace gestuel utilisé tout comme sur l’iconicité des gestes (Tellier, 2008 ; Mahut et al., 2005 ; Alibali et al., 1997 ; Goldin-Meadow, 1999 ; Singer et al., 2005 ; notamment).

Dans cet axe, les contributions pourront porter sur la fonctionnalité du GP, sur des comparaisons de la gestuelle d’un enseignant dans différentes conditions ou sur la gestuelle de différents enseignants dans la même condition. Les études expérimentales sur l’impact du geste de l’enseignant sur la compréhension et la mémorisation des savoirs par l’apprenant seront également les bienvenues.

2.2- Les postures, la gestion de l’espace classe

Ces différents aspects du non-verbal en classe ont été décrits dans divers travaux sur l’éducation en général déjà anciens (Grant et Grant Hennings, 1971 ; De Landsheere et Delchambre, 1979, parmi d’autres). Dans les années 80, plusieurs chercheurs semblent s’intéresser à la communication non verbale en classe de langue. Les manifestations étudiées sont vastes et revêtent des appellations différentes. Ainsi Ferraõ Tavares (1985) parle d’« interactions comportementales » ou de « comportements kinésiques », Foerster (1990) étudie les comportements proxémiques et leurs rôles fonctionnels dans la classe.

Dans cet axe, les contributions pourront porter sur les déplacements de l’enseignant, l’utilisation du tableau, les différentes postures en fonction des tâches pédagogiques, etc.

2.3- Le visage de l’enseignant

Le visage de l’enseignant est un élément encore trop peu étudié.

Beattie (1977) reconnait l’apport du geste dans les interactions entre enseignant et apprenants et explique comment l’enseignant peut encourager silencieusement (sourire, acquiescement, contact visuel, etc.) l’élève en train de produire un énoncé oral en langue cible. Péchou et Lange (1988) argumentent en faveur de la mimique faciale ; plus largement ce qu’elles appellent le mimo-gestuel (sourires, acquiescements du regard, hochements de la tête mais aussi froncements des sourcils, visage fermé, négation de la tête…), qui traduit l’humeur de l’enseignant et a une influence considérable sur les apprenants et leur participation en classe. Ces signaux, que l’on nomme signaux de feedback ou de backchannel en linguistique, jouent un rôle déterminant sur le déroulement d’une interaction et traduisent l’adhérence ou l’absence d’adhérence de l’interlocuteur aux propos du locuteur.

Dans cet axe, les contributions pourront porter sur une typologie fonctionnelle des expressions faciales de l’enseignant, sur la façon dont le regard coordonne les tours de parole, sur le fonctionnement général des signaux de feedback.

3- Le geste et/ou la voix en formation de formateurs

Un enseignant à l’aise avec sa voix et avec son corps et qui n’est pas en situation de forçage est plus à l’aise dans sa pratique et est plus agréable à écouter. Il serait vain de croire que l’enseignant novice possède naturellement des qualités pédagogiques, qu’il sait d’instinct utiliser sa voix sans l’abimer et mouvoir son corps de manière appropriée. La formation initiale s’en préoccupant peu, tout porte à croire que la « fée pédagogique » (Tagliante, 1994 : 63) s’est penchée sur le berceau du futur enseignant et lui a transmis le don d’utiliser sa voix et ses gestes à bon escient. Or, il apparait fondamental d’agir en amont, c’est-à-dire au niveau de la formation de formateurs et notamment de la formation initiale (Cadet et Tellier, 2007).

Les contributions pour cet axe porteront sur la présentation de dispositifs de formation sur la gestuelle et/ou la voix, sur des retours d’expériences, sur les résultats de formations professionnelles spécialisées, etc.

Coordination du numéro :

Lucile Cadet (Laboratoire Structures Formelles du Langage, UMR 7023/ Université Paris 8) et

Marion Tellier (Laboratoire Parole et Langage, UMR 7309 / Université d’Aix-Marseille)

  • Les articles seront prioritairement rédigés en langue française.
  • Les doctorants et jeunes chercheurs sont cordialement encouragés à proposer des articles.
Modalités de soumission

Les auteurs sont invités à envoyer leurs propositions de contributions (article complet) par courrier électronique à la rédaction (synergies.france@gmail.com)

avant le 15 aout 2012.

Les propositions devront comporter les références institutionnelles et scientifiques des auteurs, un titre explicite, un résumé significatif présentant notamment la démarche de recherche suivie et ses principaux résultats, de 3 à 5 mots-clés ainsi qu’une bibliographie permettant d’identifier le cadre théorique.

Chaque article sera évalué anonymement par deux membres du comité de lecture et un retour sera communiqué à tous les auteurs de propositions. Pour celles recueillant au moins un avis favorable, des consignes complémentaires sur le format de soumission des articles et des demandes d’éventuelles modifications seront indiquées aux auteurs et l’article dans sa forme définitive devra être envoyé à la rédaction pour début le printemps 2013 au plus tard. Il subira alors une seconde évaluation en double anonymat avant avis définitif sur sa publication.

La parution du numéro est prévue pour juin 2013.

Pour la rédaction des articles, les auteurs seront priés de bien vouloir se conformer dès l’envoi des propositions aux Spécifications rédactionnelles ci-après.

Comme de plus en plus de revues francophones, Synergies France applique les rectifications orthographiques proposées en 1990 par le Conseil supérieur de la langue française, recommandées par l’Académie dans sa dernière édition. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site : http://www.orthographe-recommandee.info/

Comités Synergies France

Constitution de l’équipe

  • Rédacteurs en chef : Dominique Ulma et Francis Yaiche
  • Secrétaire de rédaction : Claudine Bassou-Chpak

Comité scientifique

  • Évelyne Bérard (Directrice du CLA, Besançon)
  • Claude Condé (PU, Université de Franche-Comté)
  • Jean-Pierre Cuq (PU, Université de Nice Sophia Antipolis, Pdt de la FIPF)
  • Jean-Louis Dufays (PU, Université Catholique de Louvain, Belgique)
  • Salah Mejri (PU, Paris XII)
  • Muriel Molinié (MCF, Université de Cergy-Pontoise)
  • Teresa Muryn (PU, Université Pédagogique de Cracovie, Pologne)
  • Alain Rabatel (PU, Université de Lyon)
  • Jean-Paul Roumegas (CNOUS, Paris)
  • Laurence Siberry (MCF, Stranmillis University College, Belfast, Irlande du Nord)
  • Dominique Ulma (MCF, Université d’Angers)
  • Francis Yaiche (PU, Université Paris V)

Comité de lecture permanent

  • Cécile Bruley (Université Paris III)
  • Claudine Chpak (CLA, Besançon)
  • Claude Cortier (ENS LSH, Lyon)
  • Jean-Pierre Cuq (FIPF)
  • Fred Dervin (Université d’Helsinki, Finlande)
  • Jean-Louis Dufays (Université Catholique de Louvain, Belgique)
  • Chantal Forestal (Université d’Aix-Marseille l)
  • Greta Komur (Université de Haute Alsace)
  • Jacqueline Lafont-Terranova (Université d’Orléans)
  • Aleksandra Ljalikova (Université de Tallinn, Estonie)
  • Teresa Muryn (PU, Université Pédagogique de Cracovie, Pologne)
  • Alain Rabatel (PU, Université de Lyon)
  • Muriel Molinié (Université de Cergy-Pontoise)
  • Valérie Spaëth (Université de Franche-Comté)
  • Dominique Ulma (Université d’Angers)
  • Monica Vlad (Université Ovidius Constanta, Roumanie)
  • Francis Yaiche (Université Paris V)

Mots-clés
  • gestes, corps, voix, enseignant, enseignement, formation
Fichiers attachés
Date limite
  • mercredi 15 août 2012
Contact
  • Marion Tellier
    courriel : marion [point] tellier (at) lpl-aix [point] fr
Source de l'information
  • Marion Tellier
    courriel : marion [point] tellier (at) lpl-aix [point] fr

Pour citer cette annonce

« Le corps de l’enseignant : gestes, voix et postures », Appel à contribution, Calenda, publié le lundi 16 avril 2012, http://calenda.revues.org/nouvelle23496.html

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Chris Salter

15 Avril 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

 

Textes et documents rassemblés par Jean-Marc Larrue et Marie-Madeleine Mervant-Roux
Ce dossier sur le son au théâtre, que Théâtre / Public publie en deux volets - le premier, intitulé “Le passé audible”, dans le présent numéro, le second “Dire l’acoustique”, dans le n°199 - combine l’histoire du théâtre à l’étude des médias et des technologies. Plus précisément, en analysant certaines des modalités d’intégration du son médiatisé, ou « son reproduit », sur la scène (de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui), il vise à redonner à la dimension sonore du théâtre sa place essentielle. Car si le théâtre est le lieu où l’on voit, il a toujours été aussi - et tout autant - le lieu où l’on entend.

 

 

Premier chantier
Penser le son histoire, archives, témoignages
Jonathan Sterne, Daniel Deshays, Serge Cardinal, Frédéric Dallaire et Joël Huthwohl.

Deuxième chantier
Fin XIX - début XXe siècle : le tournant acoustique
Patrick Feaster, Melissa Van Drie, Stéphane Tralongo et Marion Denizot.


Troisième chantier
Scène, intermédialité et technologies audio
Jean-Marc Larrue, Giusy Pisano, Marie-Madeleine Mervant-Roux, Réal La Rochelle, Chris Salter et Eric Vautrin.

Quatrième chantier
Le théâtre et les arts du son
Mireille Brangé, Justine Martini, Laura Odello, Mathilde Sobottke, Laure Fernandez, Jeanne Bovet et Yukie Mase.


Et un hommage à Laurent Terzieff
Texte de Jean-Pierre Jourdain, photos de Bernard Michel Palazon.

Notes
Gérard Lépinois :

Sur la peinture de Lucian Freud
Qu’est-ce qu’une économie irréelle ?
Photo de couverture
La scène du Monument-National,boulevard Saint-Laurent, à Montréal.
Photo et montage : Hugo B. Lefort

 

Justement, en consultant ces derniers jours les numéros de Théâtre/ Public consacrés au son, TGarden, une création des collectifs Sponge et FoAM, et Schwelle, de Chris Salter et Michael Schumacher.


Peut-être les connaissez-vous déjà, dans tous les cas cela pourrait vous intéresser. Voici des liens expliquant leur travail:
http://www.chrissalter.com/projects.php
http://hexagram.concordia.ca/~xinwei/sponge.org/projects/m3_tg_intro.html


Voir  ce qu'écrit Chris Salter dans son article à propos de ces deux créations (« Dramaturgies du son. Conception sonore interactive pour la performance sur scène », Théâtre/ Public, n° 197, « Le son au théâtre – I. Le passé audible », mars 2010, p.73-76).

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