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Hubot Market

8 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

HUBOT MARKET : le n°1 du Bot sur internet.

Publié 6 Avril 2013 par Anaïs BERNARD dans site internet

Working girl, homme d’affaire, couple d’aventuriers, famille nombreuse ou senior résolument moderne ? HUBOT MARKETa le Bot qu’il vous faut. 

Avec 14 modèles disponibles, découvrez dans votre HUBOT MARKET le plus grand choix de robots à forme humaine, avec 3 gammes complètes à votre service.

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Dans notre GUIDE CONSEIL, vous trouverez des conseils malins et des astuces indispensables au bien-être de votre robot. 

Pour toute commande, HUBOT MARKET vous offre la BOT MAP, un mode d'emploi collector à imprimer.

HUBOT MARKET est bien plus qu'un simple site de e-commerce. 

HUBOT MARKET est proche de vous ! Venez partager nos coups de cœur sur notre Tumblr, suivez-nous sur Twitter !

 

Tous les hubots, les accessoires, les logiciels et même les packs sont sur le site de Hubot Market.

Un comparateur, un guide conseil, un contact hotline et même un FAQ sont à notre disposition pour nous aider dans notre choix.

La série Real Humans (100% humains) sortie le 4 avril à 20h50 avec ses deux premiers épisodes sur Arte marque le coup avec la création de ce site très original... A quand nos androïdes dans notre réalité?

Changez de vie, achetez un robot sur HUBOT MARKET !

Hubot Market, vous aussi vous pouvez avoir votre Hubot

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La face cachée des fesses

7 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

La face cachée des fesses: le livre !

www.arte.tv › AccueilMonde

Il y a 3 jours – ARTE et le Louvre ont voulu raconter un autre versant de l'aventure du ... Mais l'histoire le prouve pourtant bien : les fesses ne sont pas une

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William Ropp, Faces

7 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Expo – Musée : William Ropp, exposition : Faces
 William Ropp, exposition : Faces

à Vandoeuvre-les-nancy (54) Centre culturel André Malraux - Scène nationale
Jusqu'au samedi 4 mai 2013



Il faut faire Faces.

En adoptant la couleur, après plusieurs décennies de travail en noir et blanc, William Ropp prenait le risque de se perdre. De s’égarer dans un univers trop cru, trop réel pour ses visions oniriques.

D’échouer ce faisant à nous y entraîner à sa suite. Au contraire ! Nuls réalisme ni trivialité dans cette nouvelle exposition.

Les photographies de visages qu’on y contemple ne sont pas des portraits. Certes, ils sont saisis le plus souvent en plan serré ou en gros plan, statiques, parfois même frontaux, sur fond neutre et monochrome, selon une scénographie minimale qui pourrait évoquer le photomaton, forme la plus réaliste, la plus informative du portrait.

Les nombreux modèles de William Ropp semblent respirer derrière le masque, la personne apparaître derrière le rôle. Leur beauté, aussi charnelle que spirituelle, est bien de ce monde.

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La banderole

7 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Philippe Artières - La banderole - Histoire d'un objet politique.

 

La banderole - Histoire d'un objet politique
  • Autrement (Editions)
  • Broché
  • Paru le : 03/04/2013
De l'écharpe des suffragettes aux poitrines nues des Femen, des slogans étudiants de Mai 68 écrits en lettres rouges au drapeau de Solidarnosc, du portrait de l'homme tombé "pour la cause du peuple" aux slogans d'Act Up projetés sur les murs de la ville, la banderole peut prendre mille et une formes. Instrument politique s'adressant au pouvoir pour revendiquer ou dénoncer, appelant au ralliement à une cause ou simplement informatif, cet objet à la plasticité incroyable est de tous les soulèvements populaires du XXe et du XXIe siècle.
Une histoire matérielle et incarnée des luttes contemporaines.
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Corps numériques en scènes

6 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Corps numériques en scène

Publié 6 Avril 2013 par Anaïs BERNARD dans ouvrage

Publié en juin 2008, Corps numériques en scène est un objet hybride (livre + DVD) et bilingue (français-anglais), réflexif et documentaire. Il a été conçu à partir de l’expériences de Bains numériques #2 et du RAN, Réseau Arts Numériques.

En octobre 2007, se tenait la deuxième édition du Festival international Bains Numériques, à Enghien-les- Bains autour du spectacle vivant et des nouvelles technologies.

A cette occasion se réunissaient les membres du RAN (Réseau Arts Numériques) un réseau créé en janvier 2007, initié par le centre des arts d’Enghien-les-Bains, (scène conventionnée depuis octobre 2007) et son directeur, Dominique Roland avec la collaboration d’une vingtaine de lieux de production, diffusion, formation ou recherche européens visant à encourager la mobilisation des professionnels et leur positionnement autour des formes artistiques émergentes. Plate-forme d’échanges, de réflexion et de coproduction en développement autour des arts numériques, le RAN s’emploie à définir des moyens structurels et à mettre en place des actions concrètes pour accompagner de manière pérenne les projets « art-science-nouvelles technologies ».

Se nourrissant de l’expérience artistique du festival, enrichie des échanges des membres du RAN, le projet du livre+DVD Corps Numériques en scène est né afin de poursuivre la réflexion sur le nouveau statut du corps au sein des arts vivants actuels intégrant le numérique. Il s’inscrit – comme l’indique Philippe Franck dans l’éditorial – dans la volonté du centre des arts et de ses partenaires de fournir des outils critiques parallèlement à l’expérience créative artistique / scientifique / technologique « in vivo ».

 

+ télécharger les articles/entretiens suivants :

Article sur H. Umeda

Entretien avec Franck Bauchard

Article de C. Jacquemin

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Délicieux supplices

6 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Délicieux supplices

Érotisme et cruauté en Occident

 

Délicieux supplices De Antonio Dominguez Leiva et Sébastien Hubier - le murmure

 

 

Du laboratoire sexuel de la Renaissance au libertinage des Lumières s’affirme en Occident l’exaltation de l’érotisme cruel. Des martyres soumises aux bourrelles sadiques, des dieux punis a la promotion de la fessée s’articule toute une grammaire discursive et visuelle de la douleur extatique. Malgré la crise de la société disciplinaire et patriarcale autour de la Première Guerre mondiale, la modernité hérite de sa fascination pour les supplices exquis. Accompagnant les différentes révolutions sexuelles qui se succèdent, des Années folles aux années 1960, l’obsession de l’érotisme cruel triomphe autant dans la culture des élites que dans les différents produits pop.

La mutation de la sexualité postmoderne induit à son tour une progressive banalisation des délicieux supplices et l’on passe en quelques décennies de la période hot des sixties au SM chic et cool des petites annonces et des backrooms leather, à la fois si proches et si éloignés de la sacralité primitive d’un Nietzsche ou d’un Bataille.

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Dany Devero et Natalie Mandeau

5 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

 

Dany Devero et Natalie Mandeau, branchés cul
3 avril 2013 à 19:06 (Mis à jour: 4 avril 2013 à 16:52)
(Photo Samuel Kirszenbaum)

Portrait Ce couple écolo tourne des pornos underground pour financer les actions antidéforestations du collectif Fuck for Forest.

Par QUENTIN GIRARD

Brève mais intense, l’action ne dure que quelques secondes. Dany Devero et Natalie Mandeau, les deux militants de Fuck For Forest, montent sur un petit talus derrière Notre-Dame de Paris, dans le square Jean-XXIII. «Dan» saisit un arbuste d’une main ferme, «attention à ne pas l’abîmer quand même», lui souffle «Natty». Il ouvre sa robe de chambre, il est nu. Elle se déshabille aussi, mais elle enroule autour de sa tête un foulard pour mimer grossièrement une burqa. «Liberté de choisir ! Révolution sexuelle», réclament-ils tous les deux, pendant leur exhibition. Ils posent pour la photo, on entend un ou deux sifflements, mais la plupart des passants ne les remarquent même pas. Ils redescendent, se rhabillent et s’éloignent du lieu de l’action à grand pas, comme s’ils venaient de braquer une banque.

 

Le principe de Fuck for Forest (FFF) est simple et tient sur une feuille d’arbre : tourner des pornos, les vendre sur leur site et reverser l’intégralité de l’argent à des projets de lutte contre la déforestation et la pollution. Deux Norvégiens, Leona Johansson et Tommy Hom Ellingsen, lancent le site en 2004. Ce porno éthique à dreadlocks devient rapidement un objet de curiosité. Une ou deux performances sexuelles en début de concerts provoquent l’ire des autorités. Depuis, ce duo a fait des adeptes et le collectif s’est installé à Berlin. Un documentaire vient d’être tourné sur le groupe, dont le Norvégien Dan et l’Allemande Natty, 23 ans, sont deux des personnages principaux.

Dans un des cafés en bordure du square, les serveurs ne cessent de les regarder, subjugués. Dan, avec sa perruque rose, son rouge à lèvres, sa robe et ses bottes à talons noires, ressemble à une Esmeralda sous acide. Natty est un peu plus discrète. Elle justifie la brièveté de leur action du jour. «Aujourd’hui, nous n’avions pas du tout envie d’être arrêtés, nous sommes allés vite», explique-t-elle. «Pour venir ici, nous avons pris l’avion, nous avons pollué le ciel, il fallait rendre à la nature un peu de ce qu’elle vient de nous donner», ajoute Dan. Les deux militants reviennent de San Francisco. Ils y ont passé un mois et demi pour protester contre un décret récent qui interdit le nudisme de rue, toléré pourtant depuis la fin des années 60. «Tout le monde devrait avoir le droit de s’habiller ou de se déshabiller comme il l’entend, défend Dan. Moi, je ne suis pas nudiste, mais je me bats pour ce droit à la nudité.» Il est persuadé que notre salut passera par une totale ouverture sexuelle.

Natty a rejoint le groupe en 2007, Dan il y a seulement deux ans. Ils se considèrent comme des «amoureux», mais prônent l’amour libre. Ils ne sont pas contre le mariage mais ne voient pas pourquoi une union devrait se limiter à deux personnes. Quand l’un ne reproche pas à l’autre de lui couper la parole, ils se lancent des «darling» et «my lover» à tout bout de champ. «Il n’y a pas besoin de coucher avec tout le monde pour intégrer Fuck for Forest, raconte Natty. Chacun peut venir avec ses pratiques, ses idées, on ne juge pas, nous ne sommes pas des politiques, nous sommes des combattants de la liberté», ajoute-t-elle. «Tout ce dont on a besoin, c’est d’amour», l’interrompt son ami, avant de se lever brusquement pour aller fumer une roulée. A Natty, la tentative de discours construit. A Dan, les grandes phrases aussi profondes qu’une chanson des Beatles traduite en français.

Avant Fuck for Forest, ils ont eu des parcours chaotiques. Natty Mandeau ne veut pas trop en parler. Elle a connu «toutes les villes allemandes» : «Ma mère était une activiste, un peu tzigane, on bougeait beaucoup.» Elle a quitté l’école à 17 ans. Dan Devero vient d’une petite ville de Norvège, ses parents sont fermiers, mais il n’a «plus vraiment de contact avec eux». «Ils ne me comprennent pas, regrette-t-il. J’ai toujours aimé me travestir, depuis que je suis tout petit. Ma mère ne l’a jamais accepté.» A 13 ans, il sort du système scolaire et fréquente plusieurs instituts spécialisés. Il fait de l’équitation, puis de la musique. «C’est ce qui m’a sauvé.» Il découvre Fuck for Forest alors qu’il joue dans la rue à Berlin. Il tombe sous le charme. «Chez mes parents, j’avais observé les dégâts de l’exploitation forestière sur la nature, je trouvais ça terrible», argumente-t-il.

Tout le collectif vit dans un trois-pièces dans la capitale allemande. Parfois ils sont six, parfois dix, parfois vingt. «Nous avons recréé une famille», s’enthousiasme Natty. Dans le documentaire, on les voit passer les soirées dans leur salon, joints, musique planante, et massages érotiques collectifs et bisexuels. Le jour, ils démarchent des gens dans le milieu underground pour leur proposer de poser gratuitement, «pour sauver la planète». Beaucoup acceptent de montrer un sein ou un pénis, à la va-vite, dans un des nombreux terrains vagues de la ville, cachés entre des herbes sauvages.

Pour vivre, «nous faisons les poubelles pour trouver de la nourriture et des vêtements, et nous jouons de la musique dans la rue pour gagner un peu d’argent», explique Natty. Ils disent ne jamais utiliser pour eux les revenus du site internet. Après une pointe à 1 000 abonnés à 15 dollars par mois, ils sont désormais plus proches des 500. Les internautes ne paient pas pour du porno à la Dorcel, avec des femmes siliconées et des hommes musclés dans des demeures chics. Dans leurs scènes, les acteurs bénévoles ont des tatouages, ils sont maigres ou gros, le tournage se fait à l’arrache et ne se termine pas toujours par une éjaculation faciale. Ils ont amassé plus de 250 000 dollars, mais ils avouent ne pas trop savoir comment les dépenser. «C’est dur de trouver des vrais projets intéressants, regrette Natty. Il faut dire aux gens de nous écrire, de faire des propositions.» Entre autres actions, ils ont déjà acheté 80 hectares de forêt au Pérou afin de développer un écovillage, donné 40 000 dollars à une réserve indienne au Brésil pour acheter des terres ou 8 000 dollars à une campagne pour la préservation de la dernière forêt naturelle de Slovaquie.

«Vous ne trouvez pas que vous avez une attitude un peu naïve?» leur demande-t-on. «Il faut parfois être naïf face à la réalité, juge Dan. Arrêtons de violer la planète, d’esclavagiser la nature.» «Mais vous n’auriez pas aimé vivre à une autre époque, dans les années 70 par exemple ?» «Je ne sais pas, répond Natty. Nous vivons dans un monde très déprimant, trop d’informations négatives arrivent de partout, mais, en même temps, il y a tellement de possibilités de connexions, de rencontrer des gens différents.» Ils rêvent d’une société où «chacun prendrait la responsabilité de créer et de prendre soin de ce qu’il y a autour de lui». Ils ne savent pas ce qu’ils feront dans dix ans, sans doute la même chose. De toute façon, ils sont hors les normes, ils passeront toujours pour des doux dingues et ils ne s’en soucient pas. «Nous payons tous un prix pour notre ignorance», lance à un moment Dan. Il parle de nous, de la société, de lui. Il sait qu’il ne sait rien, mais cela ne l’arrête pas. 

En 5 dates

1989 Naissances.
2004
Lancement de Fuck for Forest.
2007 Natalie Mandeau rejoint FFF.
2011
Dany Devero rejoint FFF.
2013 F*ck for Forest,
documentaire de Michal Marczak diffusé en mars au festival Cinéma du réel.

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Corps : entre poïétique et réception

4 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

*  *  *

Publié le vendredi 08 mars 2013 par Elsa Zotian

Résumé

Pour la dixième année consécutive, les doctorants du laboratoire LLA Creatis organisent une journée d'étude : « Jeux et enjeux du corps : entre poïétique et réception ».L’intérêt de la réflexion autour du corps demeure dans la diversité et la transversalité des approches de ce champ d’étude dont le corps est l’axe central, permettant ainsi un foisonnement d’approches théoriques qui suscitent l’épanouissement de cette notion. Nous signalons, entre autres, les arts plastiques, les arts du spectacle ou les arts appliqués. L’objectif principal de cette journée d’étude sera donc de réfléchir autour de la notion du corps du point de vue de l’articulation  création - réception.

Annonce

Argumentaire

Dans la vie de tous les jours comme dans l’œuvre d’art, le corps à l’œuvre est, dans l’espace et dans le temps, un lieu spécifique d’interactions potentielles, plus ou moins circonscrit et durable. Dans l’œuvre d’art, dans la littérature, dans l’iconographie et, bien sûr, sur scène, il vibre ou se fige en silence. Il s’ordonne volontairement ou instinctivement et se désordonne de la même manière, il donne forme à l’idée ou il trahit le silence. Bref, le corps est ce lieu au sein duquel, de nombreuses interactions se jouent. Immatérialité de la psyché et corporéité de l’être interagissent, construisant l’unité et la cohérence de la personne ou du personnage. Multiples sont les formes que peut adopter le corps et multiples peuvent être ses fonctions. 

L’intérêt de la réflexion autour du corps demeure dans la diversité et la transversalité des approches de ce champ d’étude dont le corps est l’axe central, permettant ainsi un foisonnement d’approches théoriques qui suscitent l’épanouissement de cette notion. Nous signalons, entre autres, les arts plastiques, les arts du spectacle ou les arts appliqués. L’objectif principal de cette journée d’étude sera donc de réfléchir autour de la notion du corps du point de vue de l’articulation  création – réception. Nous nous intéresserons lors de cette journée aux jeux et enjeux du corps créateur ou représenté et du corps récepteur ou spectatoriel, au corps en scène et aux scènes du corps, aux applications du corps et au corps appliqué selon une approche de la poétique telle qu’elle peut se déployer dans des contextes spécifiques et divers de création et réception. Autant de pistes que nous nous proposons d’explorer à travers les trois axes suivants.

La poétique du corps et ses effets sur la réception

Instrument de création et territoire d’expérimentation de soi, des autres, du temps, de l’espace, le corps  génère sa propre poétique. Quelles poétiques du corps s’inventent dans la danse, le théâtre, la performance, le body art, mais aussi dans toutes les pratiques artistiques mettant le corps en jeu ? Du point de vue de la réception, le corps est ce dispositif par lequel s’opère la réception sensorielle et émotionnelle de l’œuvre ; il permet, en ce qui concerne le spectacle vivant, une approche kinesthésique de l’œuvre, inscrite dans le rapport du corps de l’artiste au corps du spectateur. Nous questionnerons quels effets les poétiques du corps produisent sur le corps spectatoriel et nous tenterons d’observer en quoi le corps peut constituer le lieu de rencontre privilégié entre des conduites créatrices et celle ou celui qui en est touché(e).

Le corps dans les dispositifs de la représentation

Dans l’image, la photographie, la peinture ou le cinéma, dans les arts du spectacle et la littérature, le corps est convoqué pour participer à un dispositif de représentation unique. Nous questionnerons les interactions entre corps représenté et dispositif de représentation afin de comprendre comment il se donne à voir dans l’œuvre. Nous chercherons à comprendre ce que dit le corps et ce qu’il cache en participant au dispositif de la représentation. Aussi, nous tenterons de percevoir comment le corps se meut au cœur de ce dispositif, entre les libertés et contraintes que celui-ci offre et/ou impose, et comment le dispositif conditionne la fonction du corps et son activité spatialement, temporellement et symboliquement.

Le corps interdisciplinaire : dispositifs, apports et enjeux

À la recherche de l’enrichissement épistémologique et/ou scientifique, la notion du corps se sert de tout son potentiel pour élargir les champs d’étude grâce aux croisements avec des domaines divers, comme la santé, la didactique de langues ou les nouvelles technologies. De ce fait, nous proposons de réfléchir sur les dispositifs de fusion mis en place pour que le corps investisse des scènes a priori atypiques. Aussi, nous proposons d’observer quels apports, du point de vue créatif et réceptif, émergent de la transversalité entre le corps et d’autres domaines supposés distants.  Enfin, nous tenterons de dépister les enjeux de cette hybridation du corps que ce soit dans un cadre créatif, ludique, thérapeutique ou cognitif, entre autres.

Modalités de soumission

Les propositions de communication devront être rédigées en une vingtaine de lignes maximum et, le cas échéant, décrire le ou les axes qu’elles privilégient.

Les doctorants indiqueront en outre les mots-clés de leur communication, le sujet de leur thèse, le nom de leur directeur de thèse et celui de leur laboratoire.

Il est possible de proposer des communications à deux voix.

Ces propositions doivent être envoyées

avant le 1er avril 2013

à l’adresse suivante :  jedoctorants.lla@gmail.com

Les doctorants sélectionnés présenteront leur communication qui n’excédera pas les quinze minutes (vingt-cinq minutes pour les communications à deux voix) et seront invités ensuite à publier leur texte, après acceptation ou demande de réécriture par le comité de lecture, dans la revue en ligne Littera Incognita.

Comité organisateur
  • Julien AUBERT, doctorant en Arts du Spectacle, Laboratoire LLA-CREATIS, UTM.
  • Alba BORDETAS, doctorante en Didactique à travers les Arts, Laboratoire LLA-CREATIS, UTM.
  • Anne PELLUS, doctorante en Arts du Spectacle, Laboratoire LLA-CREATIS, UTM. 
Comité scientifique
  • Emmanuelle GARNIER, Professeure des universités, Directrice du laboratoire LLA-CREATIS, Université de Toulouse II - Le Mirail
  • Monique MARTINEZ-THOMAS, Professeure des universités, Université de Toulouse II - Le Mirail
  • Elise VAN HAESEBROECK, Maître de conférences, Université de Toulouse II - Le Mirail
  • Mireille RAYNAL-ZOUGARI, Maître de conférences, Université de Toulouse II - Le Mirail
  • Anne-Line BESSOU, Doctorante en Arts plastiques, Université de Toulouse II - Le Mirail

Lieux

  • Université de Toulouse II - Le Mirail - 5 Allées Antonio Machado
    Toulouse, France (31)

Dates

  • lundi 01 avril 2013

Mots-clés

  • corps, représentation, didactique des langues, théâtre, danse, musique, arts du spectacle, cinema, image, littérature, réception, création

Contacts

  • Julien Aubert
    courriel : julienaubert [at] hotmail [dot] com

Source de l'information

  • Julien Aubert
    courriel : julienaubert [at] hotmail [dot] com

Pour citer cette annonce

« Jeux et enjeux du corps : entre poïétique et réception », Appel à contribution , Calenda, Publié le vendredi 08 mars 2013, http://calenda.org/240803

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Avant/après maquillage des porn-stars

4 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

L'incroyable avant/après maquillage des porn-stars

12 mars 2013 à 18:20 

Par EMMANUÈLE PEYRET

C'est le gros sex-buzz sur l'Instagram (américain) de la maquilleuse pro Melissa Murphy, qui a eu l'idée de génie de poster des actrices pornos avant et après séance make-up. Déroutant.

Photo Melissa Makeup / Instagram
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Toi aussi, tu es une actrice porno moche avec une peau dégueulasse ? Alors il faut vite filer voir Melissa Murphy, artiste du make-up, selon le Huffington Post américain, maquilleuse professionnelle selon tout le monde, qui a réussi un buzz formidable en postant sur son compte Instagram des photos avant/après ravalement de façade des actrices pornos dont elle s’occupe. Elle les remercie bien chaudement parce que c’est courageux de se montrer comme ça : «Je suis reconnaissante aux modèles de m’avoir autorisée à utiliser leurs photos». Il faut reconnaître que même sans être actrice porno (enfin, pas reconnue), l’exercice est ingrat : boutons, teint brouillé, œil en bordure de jambon, l’air crevé des nuits trop courtes, la chirurgie esthétique ultra-visible, c’est pas joli-joli.

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Mascarades masculines. Genre, corps et voix dans l'Antiquité gréco-romaine.

3 Avril 2013 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com


Nouveauté: Mascarades masculines. Genre, corps et voix dans l'Antiquité gréco-romaine.

"Comment influencer et séduire un public ? Comment emporter l’adhésion des foules, conclure un discours sous un tonnerre d’applaudissements ? En Grèce et à Rome, on s’exerce aux techniques de la rhétorique et aux subtilités de la langue, mais ce n’est qu’un aspect des exigences de l’art oratoire : pour convaincre, émouvoir, charmer, il faut un corps et, surtout, il faut une voix."

http://www.epel-edition.com/publication/251/mascarades-masculines.html

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