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Marina Abramovic

7 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Marina Abramović: The Artist Is Present

at Film Forum, New York, New York

marinafilm.com/ - Traduire cette page

The feature-length documentary film MARINA ABRAMOVIĆ THE ARTIST IS PRESENT takes us inside Marina's world, following her as she prepares for what .


MARINA ABRAMOVIĆ THE ARTIST IS PRESENT weaves archival footage of the artist's early works together with interviews and scenes with commentators and public figures, including: MoMA PS1 Director and MoMA Chief Curator at Large Klaus Biesenbach; art critic Arthur Danto; Oscar®-nominated actor James Franco; Whitney Museum of American Art curator Chrissie Iles; Sean Kelly; writer Tom McEvilley; and performance artist and Abramović's early partner and creative collaborator Ulay.

MARINA ABRAMOVIĆ THE ARTIST IS PRESENT is an HBO Documentary Films presentation of A Show of Force production, directed by Matthew Akers. The producers are Jeff Dupre, Maro Chermayeff and Owsley Brown III. Director of Photography, Matthew Akers; Co-Directed by Jeff Dupre; Edited by E. Donna Shepherd; Co-Edited by Jim Hession; Original Music by Nathan Halpern; Co-Producer Francesca von Habsburg; For Dakota Group Ltd, Executive Producers Stanley Buchthal, Maja Hoffmann and David Koh; For HBO: Senior Producer for HBO, Nancy Abraham; Executive Producer: Sheila Nevins. The MoMA exhibition The Artist is Present was conceived, titled and organized by Klaus Biesenbach

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Codes, corps et rituels

7 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Codes, corps et rituels dans la culture jeune

 

Éditeur : LES PRESSES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
  livre canadien
Auteur : Denis, Jeffrey
Auteur : Lachance, Jocelyn
Collection : Sociologie au coin de la rue
Sujet : Sociologie, socié. d'aujourd.
Catégorie : Sociologie
Langue : Français
Statut : Disponible
ISBN : 9782763799209
Code Barre : 9782763799209
Code Prologue : A000281
Nombre de pages : 235
Date de publication : 2012-12-04

Prix : 35,00 $



Pour comprendre les conduits des jeunes, il faut d’abord savoir comment ils décodent et négocient les contraintes des adultes, comment ils construisent leurs propres codes et leurs propres rituels afin d’affirmer qui ils sont. Même derrière des formes apparentes d’opposition, c’est bien l’envie d’exister et d’être reconnu qui motive leurs comportements.
Pour cet ouvrage, nous avons rassemblé des collaborateurs qui proposent plusieurs points de vue sur les conduites juvéniles, mais aussi sur leurs manières particulières d’appréhender la société dans laquelle ils vivent. Malgré la diversité de leurs comportements, tous nos collaborateurs observent chez les jeunes le désir de créer des liens et l’inconditionnelle nécessité de prendre leur place dans le monde. 




Pour en savoir davantage sur cet ouvrage publié par les PRESSES DE
L'UNIVERSITÉ LAVAL, cliquez sur ce lien:
https://www.pulaval.com/catalogue/codes-corps-rituels-dans-culture-jeune-9846.html

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Oscar Niemeyer

6 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Aviles, Espagne - 10 Août 2011: Conçu par Oscar Niemeyer, le Centre Niemeyer offre un programme multidisciplinaire dédié à l'art les plus diverses et événements culturels. Sur la gauche se dresse le bâtiment de la tour connue sous le nom "Coctelería". Banque d'images - 11229440
Aviles, Espagne - 10 Août 2011: Conçu par Oscar Niemeyer, le Centre Niemeyer offre un programme multidisciplinaire dédié à l'art les plus diverses et événements culturels. Sur la gauche se dresse le bâtiment de la tour connue sous le nom "Coctelería".

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Corps difficiles

6 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

La fabrique du tolérable

Corps difficiles et maîtrise émotionnelle du « sale boulot »

Appel à communication pour le 5ème Congrès de l’AFS Nantes, 2-5 septembre 2013, Réseau thématique 17 Gestion politique du corps et des populations

Un certain nombre de « figures », et les réalités sociales qu’elles mettent au jour, se voient refuser, de manière croissante, l’accès à l’espace public et à la visibilité depuis la seconde moitié du XXe siècle : les pauvres (gentrification des centres urbains et évacuation systématique hors des espaces publics), les prostituées (sanitarisation et contrôle de la sexualité vénale), les vieillards (institutionnalisation de la gériatrie), les mourants (évacuation massive vers l’hôpital à partir des années 1960), certains types de handicaps (introduction en 1975 de l’avortement pour « handicaps et maladies d’une particulière gravité »), les cadavres (croissance exponentielle de la crémation à partir de la seconde moitié des années 1970)… et la liste n’en est sans doute pas exhaustive. Ce phénomène signale-t-il, et/ou précipite-t-il, une hausse spécifique de la sensibilité à l’égard de ces réalités sociales ? Aurait-t-on affaire à des transformations dans leur traitement social et leur acceptation collective ? Qu’est-ce que ces corps « difficiles » font aux professionnels qui y sont confrontés ? Comment s’efforcent-ils de les rendre « tolérables » ?
C’est, de manière très concrète, à travers ce qui est dit et surtout ce qui est fait des corps et, plus exactement, le dégoût et les affects négatifs qui en accompagnent le traitement, qu’on cherchera à répondre à ces différentes questions. 
Les figures et conditions sociales stigmatisées suscitent volontiers des réactions négatives souvent vécues dans le registre du« somatique » ou du « spontané ». Mary Douglas souligne pourtant qu’« il n’y a rien de dégoûtant en soi : est dégoûtant ce qui désobéit aux règles de classification propres à un système symbolique donné ». La répulsion pour les humeurs, les excréta, ou les corps vécus comme « dégoûtants » serait une construction socio-historique. À chaque situation sociale, ses réactions attendues. Elles y seront plus ou moins ressenties, exprimées ou au contraire plus ou moins neutralisées, mises en partage ou « désensibilisées ». À chacun alors de se mettre en conformité avec les règles affectives du lieu et du milieu, à des coûts plus ou moins élevés selon le décalage ressenti avec ces attentes, explicites ou implicites. Le dégoût et les affects jettent donc un éclairage précieux sur les situations sociales où ils surgissent, en ce qu’ils s’avèrent un révélateur de valeurs partagées, locales ou générales qu’on s’attachera à faire surgir à l’aide de corpus consistants et systématiquement analysés. On se demandera aussi quelle est la part de stigmatisation proprement sociale (en termes d’appartenance de de groupes) dans ces différents mouvements d’exclusion.
C’est là s’interroger aussi, et plus généralement, sur les services que rendent le visible et le sensoriel à celui qui observe les évolutions du « sensible ». Ont-ils une forte valeur heuristique ? S’agit-il de révélateurs fidèles ? Ou bien faut-il adopter quelques précautions avant de s’y fier ? C’est reposer ici et aujourd’hui la question du statut épistémologique du « corps » (et des émotions qu’il suscite) comme instrument de lecture du monde social. 
Mais on abordera de préférence ces questions à travers l’analyse des pratiques professionnelles et ce, pour deux raisons. La première est d’ordre méthodologique : il est beaucoup plus facile de cerner des variations historiques et sociales d’une grande ampleur dans un milieu déterminé et sur des pratiques sociales concrètes. La seconde est d’ordre logique : l’éventuelle hausse de sensibilité à ces corps et à ces figures-là ne supprime pas la nécessité d’en assurer le traitement social. Celui-ci tend à être confié aux professionnels du « sale boulot » et risquant de devenir d’autant plus « sale » qu’il renverrait à des réalités de plus en plus intolérables pour le reste du monde social. Les questions évoquées plus haut peuvent donc être reposées avec plus d’acuité et de rigueur à propos de ces univers spécifiques, et ce, dans deux directions.
La sociologie des professions au contact de corps « difficiles » ou pathologiques, a mis en évidence des formes de neutralisation et d’habituation à ce qui serait considéré comme répugnant dans l’univers profane (Hughes, 1997). Face à ce qu’une hausse générale de sensibilité tendrait à construire comme des corps de plus en plus répulsifs, quels sont d’abord les procédés d’évitement (évacuation, mise à distance matérielle, utilisation de gants, méthodes diverses d’hygiénisation et de pasteurisation, voire rituels plus ou moins rationnalisés etc.) mais aussi de transformations du visible (esthétisation du mort par des cosmétiques, par exemple) adoptés par les professionnels ? Quand, en second lieu, l’évitement est impossible ou limité, quelles peuvent être les autres mécanismes d’adaptation :l’héroïsation austère de la tâche (quel rôle joue alors la fierté professionnelle dans cet ethos du contrôle de soi ? Participe-t-elle de la « vocation » ?), le « décontrôle contrôlé » des émotions (Norbert Elias et Cas Wouters) qu’autorise aujourd’hui la promotion du relationnel et de la compassion dans certains métiers (dans quelle mesure cette promotion du « care » est-elle genrée et/ou socialement située ?), enfin l’ennoblissement des tâches grâce à l’ennoblissement des corps (à travers la promotion des notions de « dignité », de « respect », d’ « humanité » etc.).
Bref, comment les agents socialement mandatés pour administrer ce qui répugne et dégoûte gèrent-ils cette proximité physique permanente ? Il faudra examiner ici le poids des structures, la pression des pairs et la réflexivité collective permettant de gérer ces corps particuliers. Les affects négatifs sont-ils fonction du poste occupé, dans la distribution des tâches mais aussi dans la hiérarchie professionnelle ? Le rôle des bénévoles et des associatifs mérite à cet égard l’attention. 
Enfin, et pour lier davantage évolutions professionnelles et évolutions collectives, les cadavres esthétisés dans un musée ou mis en scène au cinéma n’« affectent» pas de la même manière que ceux, pourtant retouchés eux aussi, désormais un peu plus volontiers montrés à l’hôpital par les professionnels du soin. Plutôt qu’une évolution générale, ne doit-on pas plutôt faire l’hypothèse de déplacements entre différents espaces de visibilité, avec des corps désormais cachés ici (à domicile, ou dans les collections anatomiques), et montrés là (expositions, cinéma, séries télévisuelles, voire hôpitaux aujourd’hui) ? Ou faudrait-il parler de déplacements entre différents espaces d’expressivité, avec des lieux où l’expression d’un certain type seulement d’émotions – sous le contrôle de professionnels, précisément – serait autorisée ? En tout état de cause, à chaque lieu son protocole d’administration des matières corporelles sensibles et ses « injonctions affectives » propres, mais aussi ses professions capables de les faire respecter… 
Autant de questions à traiter, tant dans leur dimension historique que sociologique et anthropologique, à l’aide de données empiriques et d’enquêtes portant sur l’analyse de pratiques effectives. On accordera un soin tout particulier au statut de la preuve, particulièrement délicat ici.
Modalités de soumission
Les propositions de communication (3000 signes maximum, espaces compris) présenteront le ou les thèmes auxquels se rattache leur intervention, l’objet de la recherche, le questionnement et la problématique, le terrain, les catégories et la méthodologie utilisée pour le recueil des données (ou à défaut, les corpus systématiques de sources si ce travail n’est pas lié à un terrain).
Les propositions comprendront les éléments suivants dans l’ordre d’apparition : 
Nom, prénom du/des auteur-e-s 
Fonction et institution de rattachement 
Adresse mail 
Titre de la communication 
5 mots clés 
Proposition de communication (3000 signes maximum espaces compris) 
Titre et résumé de la proposition (1500 signes espaces compris) 
Les propositions doivent être adressées simultanément sous fichier word et rtf à Emmanuel Taïeb (emmanuel.taieb@sciencespo-grenoble.fr) au plus tard pour le 7 janvier 2013.
Les propositions seront sélectionnées en fonction de leur qualité scientifique et de l’originalité du matériau empirique mobilisé. Les réponses aux propositions reçues seront envoyées mi-février 2013. Les résumés (1500 signes) des propositions acceptées figureront dans le volume édité pour le congrès.
Nous vous remercions de bien vouloir : 
indiquer en objet de votre message : AFS-RT17 proposition congrès 2013 
nommer votre fichier de la façon suivante : nom-congrès AFS 2013.doc 
Pour toute question ou problème, nous sommes à votre disposition.
Attention : le Congrès se tiendra du 2 au 5 septembre 2013 à Nantes. La participation au Congrès est payante, et les frais de déplacement et d’hébergement sont à la charge de l’intervenant, mais une prise en charge financière est prévue pour les étudiants et chômeurs sur demande auprès des organisateurs du congrès.

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L'autosanté à la Tête au Carré

6 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

par Mathieu Vidard
du lundi au vendredi de 14h à 15h

l'émission du jeudi 6 décembre 2012

L'autosanté

médicament © Pierre B - 2012

Le patient « bon et docile » n’existe plus. Désormais, le sujet contemporain entend devenir agent de sa santé et refuse de se laisser enfermer dans une simple relation soignant-soigné, vécue sur un mode passif, jusque dans la demande de disposer de son corps. Il s’informe, revendique des droits et entend le faire savoir. En France, la loi dite Kouchner lui garantit, depuis 2002, le droit à accéder à son dossier médical et le devoir des médecins de rechercher le consentement aux soins, tandis que les associations de malades alimentent les forums des sites d’information sur leur vécu. 
Un seul diagnostic ne suffit plus à notre patient qui recherche des solutions parfois moins conventionnelles, jugées plus en harmonie avec sa propre sensibilité et son vécu. Loin du simple bricolage thérapeutique ou de la pratique occasionnelle des médecines douces, cette tendance – que l’on peut qualifier d’autosanté – devient alors une expérience d’éducation corporelle et de transformation de soi. Le patient fait appel à des pratiques nouvelles, sources d’habitudes, de croyances psychologiques et d’un nouveau style de vie. Il n’est plus patient, mais agent de sa propre médecine, une médecine à la première personne.

 

avec Bernard Andrieu, philosophe,  chercheur et professeur en "épistémologie du corps et des pratiques corporelles" à la Faculté du sport de l'Université de Lorraine.

 

"L'autosanté, vers une médecine réflexive" de Bernard Andrieu Edition Armand Colin/Recherches

 

 

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La médecine des Lumières

4 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

La Médecine des Lumières
A l'occasion de la soutenance de thèse d'Alexandre Klein (http://histoiresante.blogspot.ca/2012/12/soutenance-de-these-alexandre-klein.html),
et dans le cadre des travaux de l'axe 5 de la MSH Lorraine,
 Le Professeur Vincent BARRAS
historien et médecin, directeur de l'Institut universitaire d'histoire de la médecine et de la santé publique, université de Lausanne / CHUV
donnera une conférence sur le thème :
La Médecine des Lumières : autour de la Correspondance Tissot 

              Lundi 10 décembre 2012, de 16h à 18h.
                                                                         Salle internationale - MSH Lorraine, Nancy


Ouverte à toutes et tous, dans la limite des places disponibles.
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Du corps médical au corps du sujet

4 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Soutenance de thèse Alexandre Klein



Alexandre Klein 
soutiendra publiquement 
sa thèse pour le doctorat en philosophie
intitulée
Du corps médical au corps du sujet
Étude historique et philosophique du problème de la subjectivité dans la médecine française moderne et contemporaine

 
 
Le lundi 10 décembre 2012
À 9h
Salle Internationale (324)
MSH Lorraine 
91 avenue de la Libération
54000 Nancy
Devant un jury composé de :
M. le Pr. Bernard ANDRIEU (Université de Lorraine) Directeur
M. le Pr. Vincent BARRAS (IUHMSP, CHUV/ Université de Lausanne) Rapporteur
M. le Pr. Jean GAYON (IHPST – Université Paris 1)
M. le Pr. Jean-Christophe WEBER (CHU de Strasbourg, IRIST) Rapporteur
Plan d’accès à la MSH disponible ici : http://www.msh-lorraine.fr/fileadmin/images/plans/planaccesmsh.pdf


Du corps médical au corps du sujet. Étude historique et philosophique du problème de la subjectivité dans la médecine française moderne et contemporaine
Résumé : La médecine connaît actuellement en France une crise de ses repères et de ses valeurs conséquente aux bouleversements scientifiques, techniques et sociologiques qu’elle a connue au cours du XXe siècle. Cette thèse vise à explorer les tenants et les aboutissants de cette situation, à partir d’une étude historique et philosophique de l’émergence et du développement de la médecine française moderne puis contemporaine, entendue à la fois comme profession, discours scientifique et pratique sociale. De la formation du corps médical à l’apparition d’un discours autonome des usagers de santé, nous défendons l’idée selon laquelle la genèse et l’évolution du discours médical, depuis le XVIIIe siècle jusqu’à nos jours, repose sur sa capacité à répondre à la question fondatrice des possibilités d’objectivation scientifique et technique de la subjectivité humaine. Ce problème, originairement épistémologique, se révèle au cours de notre généalogie de nature tant philosophique qu’éthique et sociopolitique, nous conduisant finalement à rechercher les outils de problématisation de la crise contemporaine au fondement de la relation médicale moderne. L’étude de la correspondance du médecin des Lumières Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) nous offre finalement un contre-point essentiel pour préciser les conditions de possibilités d’une médecine, que nous souhaitons pour le XXIe siècle, et au sein de laquelle est assuré le respect de l’autonomie et de l’identité propres à l’ensemble des sujets, qu’ils soient soignés ou soignants.
 
Mots-clefs : histoire de la médecine, subjectivité, philosophie, épistémologie, relation médecin-malade, autonomie, identité, corps, crise de la médecine.
From the medical body to the subject’s body. An historical and philosophical study of the problem of subjectivity in modern and contemporary french medicine

Abstract:
Medicine in France is currently undergoing a crisis, with respect to its established references and values, as a result of the major technical, sociological and scientific changes undergone in the twentieth century. This thesis aims to explore the ins and outs of this crisis through an historical and philosophical study of the emergence and development of modern and contemporary French medicine as a profession, scientific discourse and social practice. From the forming of the medical body to the emergence of an autonomous non-professional discourse, we defend the idea following which the genesis and evolution of medical discourse, from the eighteenth century to the present day, rests on its ability to answer the foundational problem of the possibility a scientific and technical objectivation of the human subjectivity. Originally of an epistemological nature, this problem reveals itself, through our genealogy, to be rather of a philosophical, ethical and sociopolitical nature, which leads us to conceive a frame of reference by means of which to better understand the contemporary crisis underlying the modern doctor-patient relation. Finally, a case study of the correspondence of Enlightenment’s medical doctor Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) offers an essential viewpointfrom which to reflect on the possibility and conditions of a medical epistemology that ensures the respect of the autonomy and identity of all subjects, patients and practitioners alike. 

Key words:
history of medicine, subjectivity, philosophy, epistemology, doctor-patient relation, autonomy, identity, body, medicine crisis.  

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En immersion

4 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Expériences / pratiques / représentations de l’immersion en sciences sociales et journalisme

*  *  *

Publié le lundi 03 décembre 2012 par Elsa Zotian

RÉSUMÉ

Ce colloque intenational est l’occasion de questionner de manière critique le principe de « l’immersion ». Si le mot recouvre des réalités multiples et que les finalités peuvent être diverses, il apparaît que beaucoup d’expériences d’immersion se justifient souvent autour de l’impénétrabilité d’un espace social ou d’une activité, le dépassement des limites habituelles des observateurs extérieurs et la fécondité des connaissances acquises par ce moyen. Ce colloque a vocation à faire se côtoyer et échanger universitaires et journalistes, en combinant les formes d’un colloque académique classique avec des moments d’ouverture vers un plus large public (conférence, film inspirés de reportages ou enquêtes en immersion à partir desquels un débat pourrait se nouer) faisant si possible dialoguer différentes approches de l’immersion.

ANNONCE

Argumentaire

Comment mieux comprendre et décrire un univers social qu’en se plongeant au cœur de sa réalité, en partageant la vie de ses acteurs, en l’observant au plus près jour après jour, en masquant, en taisant ou en faisant taire tout ce qui relèverait de l’extériorité de la condition d’observateur ? Depuis longtemps les analystes, descripteurs et « raconteurs » de « mondes sociaux » (anthropologues, ethnologues, journalistes, sociologues, écrivains…) ont défendu le recours à la pratique de l’immersion à la fois pour saisir ce qui par d’autres approches resterait inconnu ou caché, susceptible – comme forme d’engagement « total » - de révéler des vérités plus « sensibles » en laissant une part aux affects. Largement diffusés auprès d’un public peu familier des sciences sociales les récits de Florence Aubenas, Elsa Fayner, Claire Checcaglini, Sebastian Junger ou plus loin de nous Günter Wallraff, sur des univers sociaux souvent délaissés (précaires, immigrés…) ou réputées difficiles d’accès (armées, partis politiques) par le quotidien des journalistes ont constitué des tentatives remarquées pour dépasser les routines de l’enquête journalistique. Une part des journalistes qui, aux Etats-Unis, ont redonné dans des magazines ses lettres de noblesse à cette tradition revendique même le label de « journalisme d’immersion ». Mais le principe de l’immersion connait aussi une actualité abondante en sciences sociales (cf. par exemple les travaux de D. Bizeul sur le Front National, de L. Wacquant sur la boxe, de M. Avanza sur la ligue du Nord, de Ph. Bourgois sur les dealers de crack à New-York ou de D. Fassin sur les BAC), non sans susciter – en premier lieu de la part des auteurs eux-mêmes - des interrogations sur le statut de l’observateur et la valeur spécifique de ce qui serait ainsi « découvert » ou « rapporté ».

Ce colloque a vocation à questionner de manière critique le principe de « l’immersion » en confrontant les rapports que le journalisme et les sciences sociales entretiennent avec cette pratique.  Si le mot recouvre des réalités multiples (dans le temps passé, le mode d’observation, la nature de l’engagement, la relation de l’expérience, la prise de distance ou le rapport à l’extériorité avec le milieu observé, notamment) et que les finalités apparaissent distinctes dans le journalisme et dans les sciences sociales (ce qui ne fût pas toujours le cas cf. Robert Park et ses rapports avec le journalisme), il apparait que beaucoup d’expériences d’immersion se justifient souvent autour de l’impénétrabilité d’un espace social ou d’une activité, le dépassement des limites habituelles des observateurs extérieurs et la fécondité des connaissances acquises par ce moyen. Les expériences d’immersion soulignent aussi la conversion durable de l’observateur, de ses principes de jugement et de ses catégories d’appréhension. 

Par bien des côtés, donc, les expériences d’immersion s’imposent comme des pratiques déjouant toute critique par la singularité de l’expérience, les formes d’abnégation qu’elles impliquent, l’originalité des connaissances produites incomparables à celles obtenues par d’autre moyens . Faut-il voir dans cela une forme «  d’héroïsation » de l’observateur en sciences sociales comme en journalisme ? Au delà des profits spécifiques engendrés par l’immersion peut-on aussi en analyser les limites ? L’immersion s’impose-t-elle par rapport à des univers sociaux spécifiques ou résulte-t-elle d’une distance sociale et d’une division du travail social qui ne permettraient plus le recours à d’autres moyens d’observation ? Dans quelle mesure l’écho que rencontrent les expériences d’immersion contribue-t-il à des transformations de la compréhension ?

Nous nous proposons donc d’organiser sur trois jours un colloque qui mette ces questions en débat. Il a vocation à faire se côtoyer et échanger universitaires et journalistes, a combiner les formes d’un colloque académique classique avec des moments d’ouverture vers un plus large public (conférences, films inspirés de reportages ou enquêtes en immersion à partir desquels un débat pourrait se nouer). Notre dessein est aussi de combiner la forme classique de communications présentées sur un thème fédérateur durant une demi -journée, et l’écoute de grands témoins, faisant si possible dialoguer des journalistes et des chercheurs.

Les propositions de communications pourront se formuler autour de trois thèmes :
Axe 1 : L’immersion, une vielle histoire ?

Une histoire des pratiques d’immersion reste à faire. Les noms de London (The People of the abyss, 1903), Orwell (Down and out in Paris and London, 1933), Walraff (Tête deturc, 1986) en journalisme et littérature ; de Malinowski (Les argonautes du Pacifique occidental, 1922), de Whyte (Street corner society, 1943), Becker (Outsiders, 1963) ou encore Goffman (Asylum, 1961) sont célèbres, mais d’autres expériences antérieures ou parallèles n’ont pas connu la même postérité. Comment d’hier à aujourd’hui s’est justifié le recours à cette pratique ?  Comment ces expériences ont-elles été pensées par leurs auteurs ? Quelle réception ces travaux ont-ils suscité chez les spécialistes ou auprès d’un public plus large ? En quoi le recours à l’immersion est-il contingent ?

Les propositions s’attacheront à l’analyse d’une ou plusieurs expériences en les resituant dans leurs singularités, leur histoire, leurs problématiques en fonction d’angles d’attaques propres aux différentes disciplines (anthropologie, histoire, littérature, sociologie) ou pratiques professionnelles (littérature, journalisme…).

Axe 2 : L’immersion, quelle actualité en journalisme et sciences sociales ?

En lien avec l’axe précédent, les propositions s’intéresseront à des exemples récents en journalisme et sciences sociales pour s’interroger au présent sur les enjeux de l’immersion. Les pratiques d’immersion renvoient souvent à l’observation de milieux qui resteraient imperméables à d’autres approches. Quels milieux, professions, univers sociaux, organisations « imposeraient » aujourd’hui la pratique de l’immersion ? Quels présupposés sont engagés dans le recours à cette pratique ? Quelle image de l’observateur construit, volontairement ou non – le recours à l‘immersion ? L’immersion permet-elle de dépasser les problèmes classiques d’observation ? Quelles relations les enquêtes menées en immersion entretiennent-elles aujourd’hui avec d’autres formes plus classiques d’observation ethnographiques ? Quel sens donner à l’engagement « corps et âmes » requis par les pratiques d’immersion ? Dans quelle mesure l’immersion ne renvoie-t-elle pas implicitement – par ce qu’elle prétend dévoiler -  plus manifestement que d’autres formes d’observation à  une volonté de transformation de la réalité sociale ? ...non sans ambiguïté : « il serait politiquement délicat de donner des pauvres une mauvaise image, mais je refuse d’ignorer ou de minimiser la misère dont j’ai été le témoin ; agir autrement serait me rendre complice de leur oppression » écrit notamment Ph. Bourgois, résumant ainsi certains des paradoxes de l’immersion.

Axe 3 Écrire l’immersion

L’immersion la plus réussie se trouve face à un double défi. Comment restituer en images, en photos, en mots le kaléidoscope des impressions, émotions, choses vues et acteurs ? Il y a là en premier lieu un enjeu d’écriture. Existe-t-il des façons plus justes, plus respectueuses, plus adéquates pour restituer le terrain ? L’enquêteur doit-il s’effacer ou se mettre en scène ? Quelle place donner à des dialogues, à des descriptions fouillées (Geertz), faut-il risquer des techniques comme le monologue intérieur ? Autant de questions qui font l’objet de débats entre journalistes (Boynton,, 2005) mais aussi chez des chercheurs. Un autre enjeu des choix d’écriture tient aussi à l’équilibre entre le comprendre et l’expliquer. La meilleure restitution d’un terrain, de l’expérience de ses protagonistes peut-elle faire sens des causalités qui peuvent se trouver dans des mécanismes macro-sociaux, des espaces extérieurs à ceux de l’enquête ? Ici aussi les stratégies mises en œuvre peuvent varier, d’un parti plus explicatif chez des journalistes qui se revendiquent du « muckracking » (Schlosser, Hallinan aux USA), à des mises en perspectives dans des paratextes comme préfaces ou postfaces pour d’autres (A. Nicole Leblanc, L. Dash). Comment les spécialistes de sciences sociales font-ils, de leur côté, face aux coûts et rendements de formes d’écriture plus narratives, à la suspicion éventuelle de cultiver le pittoresque ?

Les contributions pourront ici être de la part de leurs auteurs des retours sur des expériences de recherches, des analyses de pratiques dans les domaines du journalisme (anciennes ou récentes) et des sciences sociales, elles pourront questionner plus largement la dimension de l’écriture en sciences sociales et en journalisme, des outils mais aussi des interdits implicites qui définissent les manières légitimes et illégitimes d’écrire le social.

Les propositions s’interrogeront sur ces aspects en traitant à travers l’analyse d’un ou plusieurs exemples pour reformuler la question centrale posée par Becker à propos des « artistes écrivains et chercheurs » formulée dans le titre de l’un de ses ouvrages (Telling about society, 2007), en s’interrogeant sur l’immersion comme un moyen d’approcher et rendre compte d’une réalité, bref de résoudre empiriquement le problème que pose tout projet de « parler de la société ».

Comité scientifique
  • Daniel Bizeul, Sociologue, CRESPPA-CSU ;
  • Didier Demazières, chercheur CNRS, CSO-Sciences Po ;
  • Dominique Pasquier, directrice de recherche CNRS, Ecole Nationale Supérieure des télécommunications ;
  • Michael Palmer, Professeur émérite, Université Paris 3 ;  
  • Marie-Eve Therenty (Professeur, Université de Montpellier III),
  • Nicolas Mariot, Chargé de recherche au CNRS, CURAPP.

Comité d’organisation

  • Géraud Lafarge,
  • Christian Le Bart,
  • Pierre Leroux,
  • Erik Neveu,
  • Roselyne Ringoot,
  • Sami Zegnani.
Modalités de soumission

Langue de la proposition : français, anglais, portugais.

Langue du colloque : français, anglais, portugais.

La proposition de contribution devra être présentée comme suit :

  • 1. Coordonnées exactes (nom, prénom, fonction, établissement ou titre de presse, adresse électronique) de chaque auteur.
  • 2. Résumé de la proposition de 2500 à 4000 signes environ.

Votre proposition en format WORD, ODT ou PDF sera adressée par voie électronique en parallèle à Pierre Leroux ( pierre.leroux@uco.fr ) et Erik Neveu (erik.neveu@sciencespo-rennes.fr ).

Date limite de soumission des propositions : le 15 février  2013            

Chaque proposition fera l'objet d'une évaluation par deux membres du comité scientifique. 

Les auteurs des propositions retenues seront informés par voie électronique avant le 1er avril 2013.

Le colloque aura lieu à Rennes du 20 au 22 novembre 2013.

LIEUX

  • IEP de Rennes / Science po Rennes - 104 bd de la Duchesse Anne 
    Rennes, France (35)

DATES

  • vendredi 15 février 2013

FICHIERS ATTACHÉS

MOTS-CLÉS

  • ethnologie, sociologie, journalisme, histoire, littérature, science politique

CONTACTS

  • Pierre Leroux
    courriel : pierre [dot] leroux [at] uco [dot] fr

URLS DE RÉFÉRENCE

SOURCE DE L'INFORMATION

  • Pierre Leroux
    courriel : pierre [dot] leroux [at] uco [dot] fr

POUR CITER CETTE ANNONCE

« En immersion », Appel à contribution , Calenda, Publié le lundi 03 décembre 2012,http://calenda.org/230059

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Immortal Bodies

4 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

Nuncius
·         Volume 27, Special Issue: Immortal Bodies, January 2012
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La marionnette

3 Décembre 2012 , Rédigé par leblogducorps.over-blog.com

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Publié le vendredi 30 novembre 2012 par Loïc Le Pape

Résumé

La marionnette est un objet intermédiaire. Longtemps située à la croisée des domaines de l’artisanat d’art, des pratiques religieuses, de la culture populaire et de la virtuosité du mouvement, elle a connu une nouvelle naissance et suscité de nouvelles perceptions en se confrontant au théâtre et à l’art contemporains, à la découverte des arts extra-occidentaux, aux questionnements sur l’art pour le jeune public, au cinéma d’animation et aux nouvelles technologies, à l’idéologie consumériste, tout en posant au niveau des institutions patrimoniales une question essentielle : celle d’exposer l’art vivant. La marionnette est donc emblématique d’un corpus d’objets en forte redéfinition sur le plan de la création, de la mise en histoire et de la valorisation patrimoniale.

Annonce

Journées d’études co-organisées par l’Institut national d’histoire de l’art et le département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France.

Dans le cadre et avec le soutien du Labex ARTS-H2H et en partenariat avec l’Institut international de la marionnette.

Comité scientifique : Thierry Dufrêne (INHA), Raphaèle Fleury (IIM) et Joël Huthwohl (BnF)

Argumentaire

La marionnette est un objet intermédiaire. Longtemps située à la croisée des domaines de l’artisanat d’art, des pratiques religieuses, de la culture populaire et de la virtuosité du mouvement, elle a connu une nouvelle naissance et suscité de nouvelles perceptions en se confrontant au théâtre et à l’art contemporains, à la découverte des arts extra-occidentaux, aux questionnements sur l’art pour le jeune public, au cinéma d’animation et aux nouvelles technologies, à l’idéologie consumériste, tout en posant au niveau des institutions patrimoniales une question essentielle : celle d’exposer l’art vivant. La marionnette est donc emblématique d’un corpus d’objets en forte redéfinition sur le plan de la création, de la mise en histoire et de la valorisation patrimoniale.

Les deux journées d’études croiseront le point de vue des chercheurs, des conservateurs, des scénographes et des artistes autour de la question de l’entrée des arts de la marionnette au musée et du changement de regard que ce transfert entraîne. Elles élargiront aussi le propos à la question du statut de la marionnette, au-delà du champ patrimonial, dans les domaines de l’art contemporain, de l’histoire de l’art et de l’ethnologie jusqu’à celui, plus récent, des expériences numériques et robotiques.

Programme

Jeudi 6 décembre 2012

Musée des arts forains

9h - Joël Huthwohl (Directeur du département des Arts du spectacle, Bibliothèque nationale de France), Introduction

Du castelet à la vitrine : l’entrée de la marionnette au musée

Président de séance : Joël Huthwohl

  • 9h30. Françoise Lernout (Conservateur, Musées d’Amiens), De l’acquisition à l’exposition, à l’ère du numérique : questionnements
  • 10h. Cécile Obligi (Conservateur, département des Arts du spectacle, Bibliothèque nationale de France), Photographier les marionnettes
  • 10h30. Raphaèle Fleury (Responsable Pôle Recherche, Institut international de la marionnette), La mémoire de la technique et du mouvement
  • 11h. Discussion

11h30. Visite du Musée des Arts forains par son directeur Jean-Paul Favant

Du castelet à la vitrine : l’entrée de la marionnette au musée (suite)

Présidente de séance : Raphaèle Fleury

  • 14h. Marie-Anne Privat-Savigny (Directrice, Musées Gadagne, Lyon), Muséographier les arts de la marionnette : objets, documents, spectacles vivants. Le cas du musée des marionnettes du monde, musées Gadagne, Lyon
  • 14h45. Caterina Pasqualino (CNRS-EHESS / MIMAP, Palerme), L’homme marionnette ou la robotisation du possédé

Vendredi 7 décembre 2012

Bibliothèque nationale de France, salle des Commissions (site Richelieu)

La marionnette en jeu

Président de séance : Thierry Dufrêne

  • 9h. Katia Légeret (Professeur Arts du spectacle, Paris 8), Mettre en scène le danseur et la marionnette : les conditions d’émergence en Inde d’un nouveau musée de l’art vivant
  • 9h30. Aurélie Ivan (Compagnie Tsara), Art, beaux-arts ou artisanat : la marionnette contemporaine comme expérience théâtrale
  • 10h. Julie Sermon (MCF Arts du spectacle, Lyon 2), Marionnettes contemporaines : de la manipulation à l’installation ?
  • 10h30. Denis Vidal (URMIS / IRD, Paris Diderot), ‘Berenson’ amateur d’art ? Robotique et esthétique artificielle au musée du quai Branly
  • 11h. Emmanuel Grimaud (CNRS), Mesurer la sensibilité des ‘non humains’ : dispositifs et expériences
  • 11h30. Discussion

pause déjeuner

  • 14h. Farid Bentaïeb (Directeur, Théâtre Jean Arp) et Patrick Boutigny (Chargé de mission THEMAA, Journal Manip), Retour sur les « Paroles nomades » : Journées d’étude sur les arts de la marionnette et les arts plastiques
  • 14h45. Contributions d’artistes : Lazló Horvath, Christiaan Zwanikken, Waël Shawky (sous réserve)
  • 16h30. Daniel Fabre (EHESS), L’autre de l’art
  • 17h - Thierry Dufrêne (Directeur adjoint de l’INHA), Synthèse et discussion
Lieux
  • Journée du 6 décembre / Musée des arts forains
    53 Avenue des Terroirs de France
    75012 Paris
    métro : Cour Saint-émilion
  • Journée du 7 décembre / Bibliothèque nationale de France (salle des Commissions)
    5 rue Vivienne
    75002 Paris
    métro : Bourse / Palais-Royal

Lieux

  • Musée des arts forains | BNF (salle des commissions) - 53 Avenue des Terroirs de France | 5 rue Vivienne
    Paris, France (75)

Dates

  • jeudi 06 décembre 2012
  • vendredi 07 décembre 2012

Fichiers attachés

Mots-clés

  • marionnette, numérique, art contemporain, muséographie, robot, théâtre, danse, patrimoine, création

Contacts

  • Florence Duchemin-Pelletier
    courriel : duchemin [dot] florence [at] gmail [dot] com

Source de l'information

  • Florence Duchemin-Pelletier
    courriel : duchemin [dot] florence [at] gmail [dot] com

Pour citer cette annonce

« La marionnette : objet d’histoire, œuvre d’art, objet de civilisation ? », Journée d'étude , Calenda, Publié le vendredi 30 novembre 2012, http://calenda.org/229726

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